Aujourd'hui, la dream team post-hardcore - Fake Names - annonce son deuxième album studio, "Expendables", qui sortira le 3 mars 2023 via Epitaph Records. Le groupe est composé de Brian Baker (Minor Threat, Bad Religion, Dag Nasty), Michael Hampton (S.O.A.,Embrace), Dennis Lyxzén (Refused, INVSN, The [International] Noise Conspiracy), Johnny Temple (Girls Against Boys, Soulson).
Temple (Girls Against Boys, Soulside) et le nouveau venu Brendan Canty (Fugazi, Rites of Spring). C'est le dernier échange d'une conversation musicale qui s'étend sur quatre décennies. Mais au lieu de ressasser le passé, "Expendables" est une réinvention qui voit le groupe réduire la distorsion et se pencher sur les mélodies.
distorsion et se pencher sur les mélodies. Aujourd'hui, ils partagent le single principal "Delete Myself", un cocktail artisanal très énergique composé de Punk
et de Garage, terminé par des riffs inoubliables.
Formé en 2016, Brian Baker décrit Fake Names comme une "société d'admiration mutuelle", en disant qu'une fois que les cinq membres se sont retrouvés dans la même pièce, ils avaient l'impression d'être déjà dans le le groupe ensemble depuis des années. "Il y a cette énergie intangible, une clairvoyance qui provient de notre expérience partagée", explique-t-il.
Sur "Expendables", le résultat associe leur pedigree inégalé avec une sensibilité pop légèrement inattendue et totalement satisfaisante.
Mélangeant le punk britannique des années 70 avec la power-pop et le rock classique, le premier album éponyme des Fake Names (2020) était en fait une démo. (2020) était en fait une démo que Brett Gurewitz, fondateur d'Epitaph et membre de Bad Religion, Brett Gurewitz, voulait sortir tel quel. Après la sortie d'un EP trois titres en 2021, le groupe le groupe a engagé le producteur Adam "Atom" Greenspan (IDLES, Yeah Yeah Yeahs) qui a produit un un son étonnamment plus propre pour Expendables. Baker déclare : "Les influences pop sont un peu plus sur cet album et la production l'aide vraiment à briller. Ça sonne plus direct, plus plus urgent."
Il y a aussi une économie dans ces chansons qui vient du fait qu'elles ont été enregistrées en une semaine. Une semaine, ce qui élimine la possibilité d'ajouter des instruments ou des arrangements supplémentaires. Ce qu'il en résulte un album qui conserve la pureté de la vision des membres d'une manière étonnamment rafraîchissante. En ce qui concerne les thèmes des paroles, Baker déclare : "En général, Dennis écrit sur la révolution, et Michael et moi écrivons des chansons pop.
Michael et moi écrivons des chansons pop. Je suis étonné de voir comment ça marche, mais d'une certaine manière, on trouve le bon équilibre entre le salé et le sucré. Equilibre entre le salé et le sucré." Cette imagerie est mise en parallèle avec la pochette de l'album que Baker Baker qualifie de "dystopique des années 70" et représente une étrange armée de mannequins sur un fond urbain froid, urbain froid. Cette dichotomie de musique vivante et d'images sombres est un élément thématique important d'Expendables. Elément thématique important d'Expendables, car l'album est plus qu'une simple collection de chansons accrocheuses Une déclaration artistique sur notre propre impermanence.
TRACKLIST
1. Targets
2. Expendables
3. Delete Myself
4. Go
5. Don't Blame Yourself
6. Can't Take It
7. Damage Done
8. Madtown
9. Caught In Between
10. Too Little Too Late
Temple (Girls Against Boys, Soulside) et le nouveau venu Brendan Canty (Fugazi, Rites of Spring). C'est le dernier échange d'une conversation musicale qui s'étend sur quatre décennies. Mais au lieu de ressasser le passé, "Expendables" est une réinvention qui voit le groupe réduire la distorsion et se pencher sur les mélodies.
distorsion et se pencher sur les mélodies. Aujourd'hui, ils partagent le single principal "Delete Myself", un cocktail artisanal très énergique composé de Punk
et de Garage, terminé par des riffs inoubliables.
Formé en 2016, Brian Baker décrit Fake Names comme une "société d'admiration mutuelle", en disant qu'une fois que les cinq membres se sont retrouvés dans la même pièce, ils avaient l'impression d'être déjà dans le le groupe ensemble depuis des années. "Il y a cette énergie intangible, une clairvoyance qui provient de notre expérience partagée", explique-t-il.
Sur "Expendables", le résultat associe leur pedigree inégalé avec une sensibilité pop légèrement inattendue et totalement satisfaisante.
Mélangeant le punk britannique des années 70 avec la power-pop et le rock classique, le premier album éponyme des Fake Names (2020) était en fait une démo. (2020) était en fait une démo que Brett Gurewitz, fondateur d'Epitaph et membre de Bad Religion, Brett Gurewitz, voulait sortir tel quel. Après la sortie d'un EP trois titres en 2021, le groupe le groupe a engagé le producteur Adam "Atom" Greenspan (IDLES, Yeah Yeah Yeahs) qui a produit un un son étonnamment plus propre pour Expendables. Baker déclare : "Les influences pop sont un peu plus sur cet album et la production l'aide vraiment à briller. Ça sonne plus direct, plus plus urgent."
Il y a aussi une économie dans ces chansons qui vient du fait qu'elles ont été enregistrées en une semaine. Une semaine, ce qui élimine la possibilité d'ajouter des instruments ou des arrangements supplémentaires. Ce qu'il en résulte un album qui conserve la pureté de la vision des membres d'une manière étonnamment rafraîchissante. En ce qui concerne les thèmes des paroles, Baker déclare : "En général, Dennis écrit sur la révolution, et Michael et moi écrivons des chansons pop.
Michael et moi écrivons des chansons pop. Je suis étonné de voir comment ça marche, mais d'une certaine manière, on trouve le bon équilibre entre le salé et le sucré. Equilibre entre le salé et le sucré." Cette imagerie est mise en parallèle avec la pochette de l'album que Baker Baker qualifie de "dystopique des années 70" et représente une étrange armée de mannequins sur un fond urbain froid, urbain froid. Cette dichotomie de musique vivante et d'images sombres est un élément thématique important d'Expendables. Elément thématique important d'Expendables, car l'album est plus qu'une simple collection de chansons accrocheuses Une déclaration artistique sur notre propre impermanence.
TRACKLIST
1. Targets
2. Expendables
3. Delete Myself
4. Go
5. Don't Blame Yourself
6. Can't Take It
7. Damage Done
8. Madtown
9. Caught In Between
10. Too Little Too Late
