Nouvel album explosif de Tarah Who, ''The Collaboration Project'' avec des collaborations Rock percutantes et un flashback fascinant sur le Rock des années 90.
Batterie trash et guitares dissonantes, tel est le cocktail explosif du dernier album de Tarah who. Dès le premier titre 'Asian Blood', il résonne un grunge bien sale, viscéral et audacieux.'Royal Knight', aux accents punk rock, fleure bon les riffs de gratte acérés et la voix de Tarah, fait écho à celle de Johan Jett. D’ailleurs on y retrouve, dans ce ''The Collaboration Project'', l’âme des Runaways. 'Yay or Nay', parle d’amour destructeur et 'Sell it to the world', surfe sur des rythmes très années 90. Sulfureuse sur 'Canary song', la belle Tarah, incarne l’emblème du girl power version 2.0 et prouve que les femmes peuvent aussi occuper une place importante dans le rock,à l’échelle mondiale, notamment, par de nombreuses collaborations avec des artistes rencontrés sur la route des concerts.
'R.A.D.I.O', fait une incursion en français pour découvrir un chant accusateur dans le paysage rock hexagonal.
Produit aux côtés de Jason Orme (Alanis Morissette) et Norm Block (L7), cet album se clôture sur le sublime Money.