La 16ème édition de La Guerre Du Son aura lieu les 19 et 20 juillet prochain! Le festival se déroulera à Landresse dans le Doubs!
La première édition a eu lieu en juillet 2002, avec les américains de BIG SOUL en tête d'affiche : Un pari osé !
La fête fût belle, l'organisation impeccable et le succès au rendez-vous ! La Cerise sur le gâteau ? Une population des villages environnant conquise par le projet et qui est venue prêter main forte...
Depuis cette première édition, le festival a su évoluer, grâce notamment au soutien de partenaires publics et privés tout en conservant les ingrédients de base : des bénévoles de tous horizons, motivés, une programmation réfléchie, une envie de faire la fête…
Après un retour en force en 2015 et une incroyable édition en 2018, le festival est fin prêt, les 19 et 20 juillet prochains, à accueillir tous les guerriers du son pour souffler la 16ème bougie du festival La Guerre du Son 2019 !
Toi aussi tu es prêt pour cette édition qui va rester dans les annales? Découvre la prog......
Vendredi :
Le Massacre :
Le Massacre est un trio de vengeance. Il réunit Nicolas Chatelain (batterie, machines), Yann Morel (guitare, voix) et Emmanuel André (voix, machines).
Le premier compose une matière crasse qui entremêle sons synthétiques magmatiques et rythmes breakés. Le deuxième joue une guitare à vocation bruitiste et chante des paroles désabusées coécrites avec le troisième qui chante lui aussi, mais s'interdit de composer.
Leur première rencontre se fait en studio. Ils enregistrent en deux jours les bases du premier EP crachées par Nicolas. Ensuite, Yann et Emmanuel lâchent voix, guitare et arrangements.
Avant la sortie d'un premier EP à l'automne 2019, et alors qu'ils travaillent déjà à la construction d'un deuxième, ils livrent sur scène leurs morceaux crus et brutaux et communiquent l'agressivité qui sous-tend leur musique.
Assigned Fate :
Originaire de Pontarlier, Assigned Fate a vu le jour en septembre 2014. avec des influences comme Lamb of god, August Burns Red et WhiteChapel, Le groupe, composé de six membres trouve rapidement sa propre identité en proposant un métal moderne.
En 2016, leur disque lui permet de donner plus d'une vingtaine de concerts en France et en Suisse avec des groupes comme, FRACTAL UNIVERSE , THE ERKONAUTS, ou encore VOICE OF RUIN.
Membrane :
Membrane ne semble vraiment pas avoir son pareil pour jouer sur des rythmes pesants et ralentis suggérant une tension constante ; approfondissant les plaies avec une basse distordue, les figeant dans le ciment avec des rifts épais ; le groupe n'hésite pas à ressortir tout ce qu'il a au fond du bide !
Demon Vendetta :
Demon Vendetta; groupe atypique dans le genre, 100% Surf mais plus encore; dont la singularité lui a permis d'exploser les limites de sa scène pour jouer avec Bad Religion, Municipal Waste, Lag Wagon ainsi qu'avec tous les grands représentants de la scène Rock'n'Roll Vintage, Psychobilly, Surf et Garage.
Le trio est influencé par tout un pan de la culture de genre, principalement bis et horrifique (rétro ou moderne), les comic-books et les BO de films; ne vous étonnez pas de l'explosion de références au courant splatter-gore et autres slashers movies des années 80 !
Soulfly :
Soulfly laisse libre cours à ses influences world music ou « tribales » et, avec un lineup changeant, produit une musique brutale au son tellurique qui inspira grandement la scène neo metal à la fin des années 90.
Aujourd'hui hissé au rang de classique de la scène metal, le groupe aligne dix albums visitant des styles aussi variés que le thrash/hardcore des débuts du pape du metal qu'est Max Cavalera et le dub, la musique brésilienne et orientale. Le « world metal » de SOULFLY est une valeur-refuge en live pour tout metalhead avide de moshpit musclé et sportif : impossible de résister aux hymnes brutaux de la bande à Max !
Iphaze :
Le duo toulousain possède tous les ingrédients pour rappeler les aînés du genre, la fraîcheur en plus ! Les lignes de basses sont là, enivrantes et soutenues par la force du batteur.
En prime, une projection vidéo donne au concert une dimension autre, comme une correspondance entre les sens : entendre avec les yeux, voir avec les oreilles… Cela laissera sans doute perplexe, mais Iphaze surfe sur une vague nouvelle pour le dub français, en cassant sa frontière de plus en plus mince avec l'électro.
Banane Metalik :
Le groupe français Banane Metalik a baptisé sa musique « Gore'n'roll » et la décrit comme un mélange de culture cinématographique et musicale. En multipliant les tournées à travers le monde (Europe, Usa, Canada, Japon, Brésil, Russie….), le groupe est connu pour l'univers et l'énergie communicative de ses concerts.
Au rythme de ces albums, Banane Metalik n'a cessé de renforcer sa popularité, pour devenir l'un des fers de lance européens de le scène rock'n'roll.
Fallen Lillies :
Fallen Lillies, ce sont 4 nanas qui font la fête, traînent dans les salles de concert et qui ne cherchent pas à entrer dans le moule de la femme qui attend gentiment qu'on lui ramène sa pantoufle de verre. Les clichés, les attitudes qu'on attribue à la femme parfaite, elles s'en foutent et le disent !
Leur son ? De la disto à gogo et un son bien saturé. Pas de style défini, si on doit parler d'inspiration alors on dira, le heavy rock et le garage. Leur crédo ? Sortir leurs tripes sur scène pour un show survitaminé et un moment de partage dingue !
No One Is Innocent :
« Rien à vendre, tout à défendre »
On a tracé notre route, on s'est jeté dans l'arène. Creusé le même sillon pour exploser les scènes, de la sueur sur les planches et rien calculer en concert, comme si on jouait sa vie, comme si c'était la dernière »… ce morceau de texte tiré du titre « 20 ans », résume parfaitement la carrière de No One Is Innocent, une carrière marquée par des succès, des tempêtes, des coups de gueules, et des combats jamais perdus d'avance.
oujours fidèle à son ADN, entre des racines chez Black Sabbath, Rage Against The Machine, les Stooges, No One sait surprendre avec une formule à l'épreuve du temps : riffs implacables, groove, hymnes incarnés. Une formule qui les impose encore et toujours dans le cercle restreint des chefs de clans du rock à grosses guitares.
Tu es prêt pour la prog du samedi?
Samedi :
Daale :
Toute jeune entité rock arrivée sur la scène hexagonale en 2017 avec leur premier EP “Tennis”, fraîchement signé sur le label indépendant “La Falaise”, Daale regorge et exulte l'énergie qui fit du Grunge un raz de marée au début des années 90. Ajouté à cela les 20 ans d'expérience de chacun des membres sur la scène rock indépendante et vous obtiendrez un son surpuissant, un groove bien velu, et une aisance qui adoucit leurs morceaux en de petites bombes Rock Alternatif aux reflets pop.
Landslide :
Mettant à profit leurs expériences passées (Jack & The Bearded Fishermen, Second Rate, One Way Ticket), les quatre membres de Landslide poursuivent leur immersion dans un champ esthétique hors d'âge. Biberonné à ce vaste fourre-tout Indie, Landslide propose un format pop projeté dans une certaine idée d'un rock racé et référencé (Sebadoh, Pavement, Swell ou Grandaddy pour ne citer que quelques noms).
L'idée est simple : poursuivre l'histoire d'un format guitare/basse/batterie qui, loin d'être tombé en désuétude, offre toujours la possibilité d'aller au plus près d'un équilibre reposant sur compositions exigeantes et énergie palpable.
The Maniax :
Formé en 2017 par quatre musiciens expérimentés venant d'univers différents, The Maniax se retrouvent à Montbeliard (25) pour jouer un crossover Rock'n'roll influencé par la scène psychobilly et surf rock. C'est en juin 2018 que le groupe enregistre son premier EP.
Sound Of Dust :
Duo Rock de caractère, Sound of Dust c'est l'efficacité du blues croisé a la force du rock. Brassé au psyché 70's puis fermenté avec un son brutal nous sommes fier de vous proposer cette saveur puissante. Avec des notes des Black Keys, des touches de Gary Clark Jr et un zeste des White Stripes, Sound of Dust est à consommer sans modération.
OOMPH :
OOMPH! est un groupe de métal allemand ;leur style musical, aux forts accents martiaux, est un assemblage de guitares électriques, d'échantillonneur et d'électro comparable à celle jouée par d'autres groupes de la Neue Deutsche Härte, dont le plus connu est Rammstein. Ce groupe qui n'a eu de cesse de trouver son son, de ciseler son Métal Indus au fil des expériences musicales nouvelles, avec toujours en fil conducteur, des titres qui sont rentrés dans les classiques !
Black Bomb A :
Si ce style est l'apanage de plusieurs formations américaines célèbres, il a un seul et unique représentant en France depuis 23 ans : BLACK BOMB A.
Avec à son actif 7 albums, 1 EP et 2 DVDs live, la formation a su bâtir une carrière en constante progression autour de son style indémodable. La recette est d'une efficacité absolue : une section rythmique puissante et groovy, des riffs à décorner les boeufs, le tout chapeauté par deux chants étonnants : tandis que l'un racle les tréfonds des abysses, l'autre frôle la crise d'hystérie.
Black Bomb A, ce sont aussi plus de 1000 concerts (dont deux prestations au Hellfest en 2012 et 2018) qui ont laissé exsangues des fans toujours plus nombreux, prêts à manger dans la main du groupe. Une véritable expérience live tant le prodigieux échange d'énergie entre BBA et son public est monstrueusement communicatif.
Shaârghot :
Débarqué tout droit de son monde #CyberPunk, le monstre Shaârghot est apparu dans le paysage musical français avec la subtilité d'un rouleau compresseur! Aidé de ses “Shadows”, le Shaârghot cherche à organiser une immense fête et à dynamiter tout ce qui existe sur cette planète !
Le groupe d'Electro Metal Indus dévaste tout sur son passage, laissant derrière lui autant de traces de peinture noire que d'hématomes.
Ayant assuré ses premières scènes auprès de nombreuses têtes d'affiche, comme les déjantés Little Big, les incontournables Punish Yourself et les rois de la dark electro Hocico, Shaârghot continu de faire parler de lui avec ses shows extrêmement énergiques, ses performances incluant costumes post-apocalyptique et son métal martial aussi dansant que percutant.
Knuckle Head :
Des confins de l'Amérique aride des déserts de l'ouest et des marécages poisseux du Mississippi naissent des musiques qui racontent des histoires de voyages, de chaleur et de tempêtes. A la fois rock, blues et country le duo Knuckle Head porté par Jack et Jock assume et revendique haut et fort ses influences « made in US ».
Nous voici avec un mélange détonant de blues, rock, et country. Tantôt stoner, parfois psychédélique, les sonorités graves et massives nous font faire un voyage extatique vers l'Amérique, le western sale et poussiéreux ! À grands coups de gaz, de vrombissement façon Harley, Knuckle Head renouvelle un style musical des plus universels. Une chose est sûre, Jack et Jock n'ont pas fini de faire parler d'eux !
Pogo Car Crash Contro :
Envoyer son ennui et sa frustration s'éclater contre un mur en faisant le plus de bruit possible : voilà peut-être l'idée de Pogo Car Crash Control en se lançant dans la musique. Brut, bouillant et bruyant, trois adjectifs inscrits au fer rouge par quatre vingtenaires qui ont réussi un sacré tour de force en quelques mois. P.C.C.C. cultive sa singularité, se moque des modes et tord le cou aux clichés de la musique de spécialiste pour revenir à l'essence du rock à guitares : l'électricité et l'honnêteté.
Avec son nouvel album, le groupe est prêt à défoncer un quelconque plafond de verre. Composé rapidement entre deux tournées et enregistré avec soin au studio Black Box, « Déprime Hostile » est un condensé du meilleur de Pogo. Des morceaux ultra saturés et puissants, pas loin d'une énergie hardcore (« Hypothèse Mort », « Déprime Hostile ») en condensés rock efficaces (« rancunier »), ce nouvel album s'offre aussi le luxe pour la première fois de dévergonder la pop avec deux morceaux aux tempos ralentis (« Balade grunge » et « Je perds mon temps »). C'est finalement l'ombre lointaine de Nirvana qui plane sur cette collection de titres et son envie de faire des morceaux mélodiques avec le plus de saturation et d'énergie possible.