Comment terminer sa semaine de taf de la plus belle des manières?
C’est simple, foncer tête baissée dans une salle de concert et enfin pouvoir lâcher prise et se défouler sur du gros son…
En ce qui me concerne, le choix pour ce vendredi 3 novembre était tout ce qu’il y a de plus simple et évident et c’est le concert de Shaarghot à l’Elysée Montmartre qui m’est apparu comme une évidence.
Un concert que nous devons à Base productions avec la participation de Where The Promo Is.
Il faut avouer que je suis fan du groupe et que certains de membres sont de très bonnes connaissances mais soyons réaliste, pour les amateurs de metal industriel et d’électro- metal Shaarghot c’est du lourd…
Le premier groupe à monter sur scène sera We Are Magonia, groupe de musique électro. Je vous passe l’épisode de Punish Yourself initialement prévu et ces déboirs “médiatiques” les obligeant à quitter la scène musicale par la petite porte…
Du groupe We Are Magonia nous n’aurons au final que deux de ses membres pour un set DJ électro avec quelques touches metal ou thrash mais dans l’ensemble on est sur du gros son efficace qui ambiance avec facilité l’assistance.
Sur un plan visuel rien de bien particulier, des lights, des stroboscopes et un triangle en néon qui s’illumine au rythme de la musique.
J’ai envie de dire que c’est simple mais efficace, parfait pour faire monter la température et préparer le public à ce qui va suivre.
On enchaîne avec Carbon Killer groupe français de synthewave. Cette fois encore la notion de groupe est ventilée et l’on se se trouve fasse à un seul membre du groupe.
Une fois n’est pas coutume je commence par le visuel :
- trois écrans de chaque côté de la scène
- au centre quelques éléments d’une batterie électronique et clavier
- une guitare avec des caractères asiatiques qui s'illuminent et un musicien vêtu d’une combinaison blanche et d’un casque digne d’un jeu vidéo ou d’un film de SF.
Musicalement ça tape fort et je dois avouer que d’entendre des riffs de guitare en parallèle de l’électro c’est vraiment bon.
Le public est clairement transporté dans l’univers de Carbon Killer mais je reste sur ma faim, comme un sentiment de redondance au fur et à mesure que les minutes s’égrainent mais surtout, une envie de voir le groupe au complet ce qui devrait donner plus de “volume” scéniquement parlant et plus de puissance!!
Il est désormais temps de passer aux choses sérieuses avec Shaârghot et ses ghouls qui envahissent la scène de l'Elysée Montmartre…
Il est inutile que je m’étale sur la présentation de ce groupe de métal industriel et électro français, groupe en constante progression dans le paysage scénique et dans le cœur des fans du genre dont je fais partie.
Quand on vient voir Shaârghot en concert on veut en prendre plein les oreilles et plein les yeux, croyez moi on va être servi et on va prendre plein la tronche…
Les premières notes résonnent et ça commence direct avec de magnifiques mantes religieuses tout droit sorties de l’imaginaire d’Etienne BIANCHI (Le Shaârghot), des lights qui explosent nos pupilles et des riffs qui découpent nos conduits auditifs…
Des concerts de Shaârghot j’en ai vu un paquet mais là, promis, c’est énorme, on frise la perfection.
Entre un son et une setlist à vous poser le cul par terre, le passage sur scènes de différentes ghouls telles que le trader, la plus belle des pom-poms girls, un soldat et les mantes religieuses dont je parais supra, on a vraiment à faire à un spectacle de haut vol.
On ne sait plus où donner de la tête.
Si à cela on ajoute des lights de dingue, ce qui était à mon sens l’ex point faible du groupe en live, et le souffre douleur du Shaârghot qui va au contact des fans en les marquants d’une main noire sur le visage tel Saruman avec ses Uruk-Hai et bien on est au top.
Le Shaârghot est survolté et arrache tout sur son passage avec comme conséquence une foule en délire du début à la fin du set…
Un concert de Shaârghot c’est comme passer dans une machine à laver en mode essorage sauf qu’on en ressort plus sale qu’en arrivant mais dieu que c’est bon.!!
C’est simple, foncer tête baissée dans une salle de concert et enfin pouvoir lâcher prise et se défouler sur du gros son…
En ce qui me concerne, le choix pour ce vendredi 3 novembre était tout ce qu’il y a de plus simple et évident et c’est le concert de Shaarghot à l’Elysée Montmartre qui m’est apparu comme une évidence.
Un concert que nous devons à Base productions avec la participation de Where The Promo Is.
Il faut avouer que je suis fan du groupe et que certains de membres sont de très bonnes connaissances mais soyons réaliste, pour les amateurs de metal industriel et d’électro- metal Shaarghot c’est du lourd…
Le premier groupe à monter sur scène sera We Are Magonia, groupe de musique électro. Je vous passe l’épisode de Punish Yourself initialement prévu et ces déboirs “médiatiques” les obligeant à quitter la scène musicale par la petite porte…
Du groupe We Are Magonia nous n’aurons au final que deux de ses membres pour un set DJ électro avec quelques touches metal ou thrash mais dans l’ensemble on est sur du gros son efficace qui ambiance avec facilité l’assistance.
Sur un plan visuel rien de bien particulier, des lights, des stroboscopes et un triangle en néon qui s’illumine au rythme de la musique.
J’ai envie de dire que c’est simple mais efficace, parfait pour faire monter la température et préparer le public à ce qui va suivre.
On enchaîne avec Carbon Killer groupe français de synthewave. Cette fois encore la notion de groupe est ventilée et l’on se se trouve fasse à un seul membre du groupe.
Une fois n’est pas coutume je commence par le visuel :
- trois écrans de chaque côté de la scène
- au centre quelques éléments d’une batterie électronique et clavier
- une guitare avec des caractères asiatiques qui s'illuminent et un musicien vêtu d’une combinaison blanche et d’un casque digne d’un jeu vidéo ou d’un film de SF.
Musicalement ça tape fort et je dois avouer que d’entendre des riffs de guitare en parallèle de l’électro c’est vraiment bon.
Le public est clairement transporté dans l’univers de Carbon Killer mais je reste sur ma faim, comme un sentiment de redondance au fur et à mesure que les minutes s’égrainent mais surtout, une envie de voir le groupe au complet ce qui devrait donner plus de “volume” scéniquement parlant et plus de puissance!!
Il est désormais temps de passer aux choses sérieuses avec Shaârghot et ses ghouls qui envahissent la scène de l'Elysée Montmartre…
Il est inutile que je m’étale sur la présentation de ce groupe de métal industriel et électro français, groupe en constante progression dans le paysage scénique et dans le cœur des fans du genre dont je fais partie.
Quand on vient voir Shaârghot en concert on veut en prendre plein les oreilles et plein les yeux, croyez moi on va être servi et on va prendre plein la tronche…
Les premières notes résonnent et ça commence direct avec de magnifiques mantes religieuses tout droit sorties de l’imaginaire d’Etienne BIANCHI (Le Shaârghot), des lights qui explosent nos pupilles et des riffs qui découpent nos conduits auditifs…
Des concerts de Shaârghot j’en ai vu un paquet mais là, promis, c’est énorme, on frise la perfection.
Entre un son et une setlist à vous poser le cul par terre, le passage sur scènes de différentes ghouls telles que le trader, la plus belle des pom-poms girls, un soldat et les mantes religieuses dont je parais supra, on a vraiment à faire à un spectacle de haut vol.
On ne sait plus où donner de la tête.
Si à cela on ajoute des lights de dingue, ce qui était à mon sens l’ex point faible du groupe en live, et le souffre douleur du Shaârghot qui va au contact des fans en les marquants d’une main noire sur le visage tel Saruman avec ses Uruk-Hai et bien on est au top.
Le Shaârghot est survolté et arrache tout sur son passage avec comme conséquence une foule en délire du début à la fin du set…
Un concert de Shaârghot c’est comme passer dans une machine à laver en mode essorage sauf qu’on en ressort plus sale qu’en arrivant mais dieu que c’est bon.!!