Le Warm Up, "l'échauffement", un nom bien choisi qui fait particulièrement écho avec ma propre aventure, car vous avez l'honneur de lire mon tout premier report, tout comme j'ai eu l'immense honneur de le vivre dans cette tristement célèbre salle du Bataclan.
Présentations faites, entrons dans la salle. Dès l'entrée l'ambiance nous gagne. Les t-shirts noirs et les cheveux longs vont et viennent le sourire aux lèvres, Plusieurs points attirent alors mon attention dans cette obscurité qui nous a été enlevée pendant trop longtemps. Cà et là, les diverses activités proposées affichent le célèbre logo du Hellfest, nous faisant languir son retour proche.
D'un coté, une petite boutique permet aux quelques passionnés de compléter leurs collections. De l'autre, un animateur tout enjoué prépare le Concours de Air Guitare dont le nombre de participants affiche déjà complet, à coté du point Photobooth Interactif qui immortalise la présence des participants enthousiastes.
Soudain, les derniers amateurs s'affairent dans la salle, et les festivaliers commencent à avancer vers la scène. La lumière s'éteint, et bien que partiellement remplie, la fosse lève les bras dans une brume dansante avec les jeux de lumière, alors qu'entrent en scène les membres acharnés d'As They Burn qui lancent sans plus attendre leur son lourd et profond.
L'ambiance est réelle, tout y est : les logos , les têtes déchaînées et les jeux de lumières dansant avec les riffs de nos compatriotes sur scène. As They Burn a été une belle découverte pour ma part, moi qui cherchait un groupe de deathcore qui ne se pose pas de questions et qui jongle parfaitement entre le rythme et un chant saturé juste comme il faut. On se lâche, on s'abandonne, on vibre. Je me suis même surpris à imiter les mouvements amples du guitariste [nom ?] qui se penchait en avant en suivant le rythme marqué de leurs morceaux.
Puis, après ce show des plus réconfortants, on applaudit et on repart au bar alors que reprend une voix enjouée de l'autre coté de la sallle. Le concours d'Air Guitare commence sous les éclats de rire des observateurs, et je dois dire qu'il y a eu quelques fulgurances techniques.
Puis, les lumières se tamisent à nouveau, on regagne la fosse avec les derniers arrivants. Et c'est dans une lumière rouge qui se faufile dans la brume que les Espagnols de Crisix entrent en scène.
L'ambiance explose et les premiers wall of death et pogos apparaissent dans la fosse. Le son envoie et Crisix ne déçoit pas. Petite surprise dans le spectacle, voici que le batteur, le chanteur et les guitaristes s'échangent les armes. Ils se sont ensuite permis de se lancer dans une interprétation très réussie du Walk de Pantera puis avec un accent un peu prononcé de l'Antisocial de Trust, pour parfaire leur prestation. Malgré un jeu de lumière un peu saturé et des mouvements sur scène peut-être maladroits, le spectacle était au rendez-vous.
C'est Tagada Jones qui aura l'honneur de clôturer cette belle soirée. Peu d'erreurs sont à noter, ils nous auront même gratifié d'un hommage aux tristes évènements dont la salle aura été le théâtre. Cependant, nos amis punks français se montreront moins énergiques que leurs prédécesseurs, et termineront un peu trop brusquement selon moi sur leur titre phare "Mort Aux Cons" en nous offrant pour seul artifice le clip sur un écran du fond.
En bref : une très bonne ambiance, enfin la promesse du retour de cet univers Hellfest qui nous a tant manqué tant. Sur le retour, c'est une (re)découverte d'As They Burn que je m'offre. Et, tiens ? Ils ont déjà intégré mes playlists...
- Setlist Tagada Jones
À feu et à sang
Nous avons la rage
Je suis démocratie
De l'amour et du sang
Le dernier baril
Les 4 éléments
Vendredi 13
Elle ne voulait pas
De rires & de larmes
Nation to Nation
Mort aux cons
Présentations faites, entrons dans la salle. Dès l'entrée l'ambiance nous gagne. Les t-shirts noirs et les cheveux longs vont et viennent le sourire aux lèvres, Plusieurs points attirent alors mon attention dans cette obscurité qui nous a été enlevée pendant trop longtemps. Cà et là, les diverses activités proposées affichent le célèbre logo du Hellfest, nous faisant languir son retour proche.
D'un coté, une petite boutique permet aux quelques passionnés de compléter leurs collections. De l'autre, un animateur tout enjoué prépare le Concours de Air Guitare dont le nombre de participants affiche déjà complet, à coté du point Photobooth Interactif qui immortalise la présence des participants enthousiastes.
Soudain, les derniers amateurs s'affairent dans la salle, et les festivaliers commencent à avancer vers la scène. La lumière s'éteint, et bien que partiellement remplie, la fosse lève les bras dans une brume dansante avec les jeux de lumière, alors qu'entrent en scène les membres acharnés d'As They Burn qui lancent sans plus attendre leur son lourd et profond.
L'ambiance est réelle, tout y est : les logos , les têtes déchaînées et les jeux de lumières dansant avec les riffs de nos compatriotes sur scène. As They Burn a été une belle découverte pour ma part, moi qui cherchait un groupe de deathcore qui ne se pose pas de questions et qui jongle parfaitement entre le rythme et un chant saturé juste comme il faut. On se lâche, on s'abandonne, on vibre. Je me suis même surpris à imiter les mouvements amples du guitariste [nom ?] qui se penchait en avant en suivant le rythme marqué de leurs morceaux.
Puis, après ce show des plus réconfortants, on applaudit et on repart au bar alors que reprend une voix enjouée de l'autre coté de la sallle. Le concours d'Air Guitare commence sous les éclats de rire des observateurs, et je dois dire qu'il y a eu quelques fulgurances techniques.
Puis, les lumières se tamisent à nouveau, on regagne la fosse avec les derniers arrivants. Et c'est dans une lumière rouge qui se faufile dans la brume que les Espagnols de Crisix entrent en scène.
L'ambiance explose et les premiers wall of death et pogos apparaissent dans la fosse. Le son envoie et Crisix ne déçoit pas. Petite surprise dans le spectacle, voici que le batteur, le chanteur et les guitaristes s'échangent les armes. Ils se sont ensuite permis de se lancer dans une interprétation très réussie du Walk de Pantera puis avec un accent un peu prononcé de l'Antisocial de Trust, pour parfaire leur prestation. Malgré un jeu de lumière un peu saturé et des mouvements sur scène peut-être maladroits, le spectacle était au rendez-vous.
C'est Tagada Jones qui aura l'honneur de clôturer cette belle soirée. Peu d'erreurs sont à noter, ils nous auront même gratifié d'un hommage aux tristes évènements dont la salle aura été le théâtre. Cependant, nos amis punks français se montreront moins énergiques que leurs prédécesseurs, et termineront un peu trop brusquement selon moi sur leur titre phare "Mort Aux Cons" en nous offrant pour seul artifice le clip sur un écran du fond.
En bref : une très bonne ambiance, enfin la promesse du retour de cet univers Hellfest qui nous a tant manqué tant. Sur le retour, c'est une (re)découverte d'As They Burn que je m'offre. Et, tiens ? Ils ont déjà intégré mes playlists...
- Setlist Tagada Jones
À feu et à sang
Nous avons la rage
Je suis démocratie
De l'amour et du sang
Le dernier baril
Les 4 éléments
Vendredi 13
Elle ne voulait pas
De rires & de larmes
Nation to Nation
Mort aux cons