DROPKICK MURPHYS – FRANCK TURNER - JESSE AHERN
Report / photos : Stéphan Birlouez (Among The Living)
Ah les DROPKICK MURPHYS et les immanquables rendez-vous qu’ils nous fixent régulièrement autour de la Saint-Valentin. Une véritable histoire d’amour entre le public français, qui répond toujours massivement présent, et les Bostoniens.
Cette année encore, c’est deux soirées consécutives que les gus donneront à Paris, avec une configuration du Zenith un peu tronquée sur les côtés mais affichant complet pour le samedi.
Pour ouvrir (ou plutôt faire patienter le public qui remplit doucement l’espace), c’est JESSE AHERN qui se colle à la prestation. Seul sur scène, avec sa guitare et son harmonica, pour 30 minutes de chansons folks.
L'Américain de Boston à la voix érayée, distille des compos de Folk urbaine, sans fioritures et brutes, devant un public réceptif qui finira par décrocher un peu sur la longueur. Jesse Ahern partage les thèmes de ses chansons avec la foule, essayant de faire participer, notamment sur la fin en réussissant à faire claquer des mains timidement.
Visiblement, le public a hâte d’en découdre, et on sent bien qu’il lui faut de la matière un peu plus consistante pour cela.
C’est au tour de Franck Turner & The Sleeping Souls (en version électrifié) de se frotter au public parisien, avec un peu plus de répondant cette fois-ci.
C’est en s’adressant au Zenith en français que Franck Turner va se mettre le public dans la poche ce soir, livrant un set au top, conjuguant efficacité et capital sympathie XXL.
Franck Turner accompagne les DROPKICK MURPHYS pour la deuxième fois après la tournée Européenne de 2013, soulignant même avec humour que, finalement, il savait bien que tout le public était venu si nombreux pour lui.
Le quintet nous livrera une prestation vraiment bonne et énergique, à coup de Rock sur vitaminé qui fera mouche.
Le public se réveille et c’est parti pour 1 heure plutôt endiablée et ultra efficace. Franck Turner est du genre loquace, il se fend de blagues et d’explications entre chaque titre. La setlist est parfaite, les compagnons de Franck assurent un set au cordeau, ne tenant pas en place une seconde.
Debout sur la batterie, Franck finira finalement dans la foule pour un crowdsurfing tout en chantant, ayant un peu avant initié un circlepit à vitesse variable et étant venu danser dans la fosse avec qui voulait bien se prêter à l’exercice.
Ce fût une belle surprise que cette première partie que je découvrais ce soir pour la première fois.
Apres une mise en bouche sur le traditionnel FoggyDew devant un rideau noir tendu devant la scène (la version de (SinéadO'Connoravec The Chieftains), les DROPKICK donnent le top départ d’une soirée sans temps morts avec The LonesomeBoatman.
Toute la tribu est plantée sur les estrades, faisant face à la foule qui est déjà au taquet, avant d’envoyer The Boys Are Back reprit d’une seule voix par le Zénith, qui verra tomber une pluie de crowdsurfer dans le pit photo derrière les crash barrières. Crash barrières qui seront également sollicitées par Al Barr et Ken Casey allant sans arrêt au contact des fans.
La scène est toujours la même, au même titre que le set d’ailleurs, avec un écran géant derrière le groupe qui passe différentes vidéos et textes en fonction du titre joué.
A noter le tout nouveau titre Smash Shit Up interprété ce soir et issu du nouveau single sorti il y a peu de temps (dont le vinyle est en vente au Merch). Il joueront aussi la reprise The Bony (en face B de leur dernier vinyle) du chanteur folk écossais Gerry Cinnamon.
La salle est bien entendu acquise aux ‘ricains. Les pogos et autres joyeusetés sont de mise dans le pit, et les refrains repris en chœur.
La setlist n’est pas vraiment surprenante, reprenant les classiques du groupes pour un final pré-rappel sur un Rose Tattoo convenu et toujours aussi efficace.
Le rappel sera composé de Going Out In Style, Until The Next Time et l’incontournable I’m Shipping Up To Boston qui verra la scène investie de la gente féminine des premiers rangs (un autre grand classique).
Et voilà, c’est sous la bande son de MyWay de Sinatra que l’on se quitte avec les DROPKICK, après une nouvelle excellente soirée, une énième entre potes. Vivement la prochaine.
Setlit DROPKICK MURPHYS :
The Lonesome Boatman
The Boys Are Back
The Fighting 69th
The Burden
Johnny, I Hardly Knew Ya
Prisoner's Song
The Bonny
The Auld Triangle
The Battle Rages On
The Wild Rover
Your Spirit's Alive
Sunshine Highway
(F)lannigan's Ball
Smash Shit Up
Peg O' My Heart
God Willing
You'll Never Walk Alone
The Gauntlet
Jimmy Collins' Wake
The State of Massachusetts
I Fought the Law
Out of Our Heads
The Irish Rover
Encore:
Rose Tattoo
I'm Shipping Up to Boston
Until the Next Time
Report / photos : Stéphan Birlouez (Among The Living)
Ah les DROPKICK MURPHYS et les immanquables rendez-vous qu’ils nous fixent régulièrement autour de la Saint-Valentin. Une véritable histoire d’amour entre le public français, qui répond toujours massivement présent, et les Bostoniens.
Cette année encore, c’est deux soirées consécutives que les gus donneront à Paris, avec une configuration du Zenith un peu tronquée sur les côtés mais affichant complet pour le samedi.
Pour ouvrir (ou plutôt faire patienter le public qui remplit doucement l’espace), c’est JESSE AHERN qui se colle à la prestation. Seul sur scène, avec sa guitare et son harmonica, pour 30 minutes de chansons folks.
L'Américain de Boston à la voix érayée, distille des compos de Folk urbaine, sans fioritures et brutes, devant un public réceptif qui finira par décrocher un peu sur la longueur. Jesse Ahern partage les thèmes de ses chansons avec la foule, essayant de faire participer, notamment sur la fin en réussissant à faire claquer des mains timidement.
Visiblement, le public a hâte d’en découdre, et on sent bien qu’il lui faut de la matière un peu plus consistante pour cela.
C’est au tour de Franck Turner & The Sleeping Souls (en version électrifié) de se frotter au public parisien, avec un peu plus de répondant cette fois-ci.
C’est en s’adressant au Zenith en français que Franck Turner va se mettre le public dans la poche ce soir, livrant un set au top, conjuguant efficacité et capital sympathie XXL.
Franck Turner accompagne les DROPKICK MURPHYS pour la deuxième fois après la tournée Européenne de 2013, soulignant même avec humour que, finalement, il savait bien que tout le public était venu si nombreux pour lui.
Le quintet nous livrera une prestation vraiment bonne et énergique, à coup de Rock sur vitaminé qui fera mouche.
Le public se réveille et c’est parti pour 1 heure plutôt endiablée et ultra efficace. Franck Turner est du genre loquace, il se fend de blagues et d’explications entre chaque titre. La setlist est parfaite, les compagnons de Franck assurent un set au cordeau, ne tenant pas en place une seconde.
Debout sur la batterie, Franck finira finalement dans la foule pour un crowdsurfing tout en chantant, ayant un peu avant initié un circlepit à vitesse variable et étant venu danser dans la fosse avec qui voulait bien se prêter à l’exercice.
Ce fût une belle surprise que cette première partie que je découvrais ce soir pour la première fois.
Apres une mise en bouche sur le traditionnel FoggyDew devant un rideau noir tendu devant la scène (la version de (SinéadO'Connoravec The Chieftains), les DROPKICK donnent le top départ d’une soirée sans temps morts avec The LonesomeBoatman.
Toute la tribu est plantée sur les estrades, faisant face à la foule qui est déjà au taquet, avant d’envoyer The Boys Are Back reprit d’une seule voix par le Zénith, qui verra tomber une pluie de crowdsurfer dans le pit photo derrière les crash barrières. Crash barrières qui seront également sollicitées par Al Barr et Ken Casey allant sans arrêt au contact des fans.
La scène est toujours la même, au même titre que le set d’ailleurs, avec un écran géant derrière le groupe qui passe différentes vidéos et textes en fonction du titre joué.
A noter le tout nouveau titre Smash Shit Up interprété ce soir et issu du nouveau single sorti il y a peu de temps (dont le vinyle est en vente au Merch). Il joueront aussi la reprise The Bony (en face B de leur dernier vinyle) du chanteur folk écossais Gerry Cinnamon.
La salle est bien entendu acquise aux ‘ricains. Les pogos et autres joyeusetés sont de mise dans le pit, et les refrains repris en chœur.
La setlist n’est pas vraiment surprenante, reprenant les classiques du groupes pour un final pré-rappel sur un Rose Tattoo convenu et toujours aussi efficace.
Le rappel sera composé de Going Out In Style, Until The Next Time et l’incontournable I’m Shipping Up To Boston qui verra la scène investie de la gente féminine des premiers rangs (un autre grand classique).
Et voilà, c’est sous la bande son de MyWay de Sinatra que l’on se quitte avec les DROPKICK, après une nouvelle excellente soirée, une énième entre potes. Vivement la prochaine.
Setlit DROPKICK MURPHYS :
The Lonesome Boatman
The Boys Are Back
The Fighting 69th
The Burden
Johnny, I Hardly Knew Ya
Prisoner's Song
The Bonny
The Auld Triangle
The Battle Rages On
The Wild Rover
Your Spirit's Alive
Sunshine Highway
(F)lannigan's Ball
Smash Shit Up
Peg O' My Heart
God Willing
You'll Never Walk Alone
The Gauntlet
Jimmy Collins' Wake
The State of Massachusetts
I Fought the Law
Out of Our Heads
The Irish Rover
Encore:
Rose Tattoo
I'm Shipping Up to Boston
Until the Next Time