La tournée power metal et metal symphonique de la rentrée passe par Paris ce samedi 15 septembre. L'affiche est plutôt alléchante avec VISIONS OF ATLANTIS, LEAVES'EYES et les nouveaux Rois du power metal, KAMELOT. L'Elysée Montmartre ne fait pourtant pas le plein, loin de là. Le public absent a certainement ses raisons, et je ne peux lui donner tort au vu des déceptions de la soirée.
La soirée commence donc avec les Autrichiens de VISIONS OF ATLANTIS. Le groupe est venu défendre son Sixième album, THE DEEP & THE DARK en interprétant pas moins de cinq titres de celui ci. Dès les premières lignes de chants, j'avoue être séduit par la qualité vocale de Clémentine Delauney. Pour préciser ma pensée, j'avais déjà pu voir Clémentine avec MELTED SPACE il y a quelque temps et je n'avais vraiment pas apprécié sa prestation scénique lors du concert à La Machine du Moulin Rouge. Mais la, notre soprano national est en grande forme et éclipse totalement le reste du groupe. Tant techniquement que visuellement Clémentine est au top ce soir même si certaines postures quelque peu théâtrales sont dispensables. Pour l'accompagner, Siegfried Samer se donne tant bien que mal, mais semble totalement eclipsé par son acolyte. Heureusement que nos deux vocalistes sont là pour mettre un peu d'énergie car Christian Douscha (guitare) et Herbert Glos (basse) sont d'un statisme étonnant. Musicalement, même si le tout est très bien interprété, il manque vraiment un second guitariste qui apporterait indéniablement un surcroit d'énergie. Le set se terminera sur deux bonnes notes tout de même avec la très belle démonstration vocale de Clémentine sur le titre THE LAST HOME et le très entraînant RETURN TO LEMURIA.
Setlist Visions Of Atlantis :
1. The Deep & the Dark
2. New Dawn
3. Ritual Night
4. Words of War
5. Passing Dead End
6. The Last Home
7. Return to Lemuria
Venons en à la très bonne surprise de la soirée. LEAVES'EYES monte sur scène, au décor des terres Viking, pour nous asséner son metal symphonique aux sonorités agressives. Le set démarre avec le très accrocheur SIGN OF THE DRGONHEAD tiré du dernier opus du groupe. Nous nous apercevons tout de suite que le groupe n'est pas là pour enfiler des perles, mais pour profiter du temps imparti en délivrant un show intense. La belle Elina Siirala, nouvelle vocaliste du band, se démarque de sa prédécesseur en apportant véritablement un gros plus au niveau énergie. Il faut dire aussi que la demoiselle est parfaitement secondée par Alexander Krull, au physique imposant de guerrier Viking. Le public est très réceptif et s'en donne à coeur joie sur le très dansant SWORDS IN ROCK ou encore RIDERS ON THE WIND qui ressemble à un hymne à la victoire des guerriers Nordiques rentrant au pays. Les musiciens du groupe ne sont pas en reste et accompagnent parfaitement nos deux vocalistes, faisant de ce show le moment le plus intense le la soirée. Pour clôturer le set, Krull, reviendra sur scène affublé d'un costume de Viking avec un casque et épée à la main sur le titre BLAZING WATERS. LEAVES'EYES nous aura gratifié d'un show sans fausses notes et en tout point festif.
Setlist Leaves'Eyes :
1. Sign of the Dragonhead
2. Across the Sea
3. Swords in Rock
4. Edge of Steel
5. Riders on the Wind
6. Hell to the Heavens
7. Beowulf
8. Blazing Waters
Place maintenant au maître de cérémonie, KAMELOT. La scène est inondée de fumée lorsque Tommy Karevik fait son apparition sous une capuche noire. la fumée se dissipant, on peut admirer le très beau décor du groupe ainsi qu'un light show magnifique et imposant. Il ne mettra malheureusement jamais les artistes en valeur. Sur PHANTOM DIVINE (Shadow Empire), premier titre du set, Lauren Hart (Once Human) fera sa première apparition de la soirée pour assurer les Growls. Les titres s'enchainent sans réelle surprise hormis celle de ne voir seulement que quatre morceaux issus du dernier opus du band. Sur le devant de la scène ma première déception vient de Tommy qui restera, à mon goût, beaucoup trop discret ne parvenant jamais à créer l'osmose parfaite avec son public. Même reproche pour Thomas Youngblood qui restera la plupart du temps dans son coin, mais je vous rassure en interprétant ses solos à la perfection . Alors oui tant au niveau musical que vocal ces deux là sont d'un excellent niveau et nous en ferons la démonstration, mais ce soir j'ai l'impression qu'ils sont sur la retenue. Seul Sean Tibbetts, à la basse, tiendra son rôle à merveille. Cela tranche vraiment avec leur prestation de 2015 à la Cigale de Paris. Ce set se terminera tout de même sur une très bonne note avec le titre LIAR LIAR.
Setlist Kamelot :
1. Phantom Divine (Shadow Empire)
2. Rule the World
3. Insomnia
4. The Great Pandemonium
5. When the Lights are Down
6. My Confession
7. Veil of Elysium
8. RavenLight
9. End of Innocence
10. Here's to the Fall
11. March of Mephisto
12. Amnesiac
13. Sacrimony (Angel of Afterlife)
14. Keyboard and Drum Performance
15. Forever
16. Burns to Embrace
17. Liar Liar (Wasteland Monarchy)
Pour moi cette soirée aura été en demi teinte avec le talent de Clémentine Delauney qui tire vraiment VISIONS OF ATLANTIS vers le haut. Le très bon concert de LEAVES'EYES et de Elina Siirala qui fait totalement oublier Liv Kristine et le show de KAMELOT sans énergie malgré la réelle qualité de sa discographie.
La soirée commence donc avec les Autrichiens de VISIONS OF ATLANTIS. Le groupe est venu défendre son Sixième album, THE DEEP & THE DARK en interprétant pas moins de cinq titres de celui ci. Dès les premières lignes de chants, j'avoue être séduit par la qualité vocale de Clémentine Delauney. Pour préciser ma pensée, j'avais déjà pu voir Clémentine avec MELTED SPACE il y a quelque temps et je n'avais vraiment pas apprécié sa prestation scénique lors du concert à La Machine du Moulin Rouge. Mais la, notre soprano national est en grande forme et éclipse totalement le reste du groupe. Tant techniquement que visuellement Clémentine est au top ce soir même si certaines postures quelque peu théâtrales sont dispensables. Pour l'accompagner, Siegfried Samer se donne tant bien que mal, mais semble totalement eclipsé par son acolyte. Heureusement que nos deux vocalistes sont là pour mettre un peu d'énergie car Christian Douscha (guitare) et Herbert Glos (basse) sont d'un statisme étonnant. Musicalement, même si le tout est très bien interprété, il manque vraiment un second guitariste qui apporterait indéniablement un surcroit d'énergie. Le set se terminera sur deux bonnes notes tout de même avec la très belle démonstration vocale de Clémentine sur le titre THE LAST HOME et le très entraînant RETURN TO LEMURIA.
Setlist Visions Of Atlantis :
1. The Deep & the Dark
2. New Dawn
3. Ritual Night
4. Words of War
5. Passing Dead End
6. The Last Home
7. Return to Lemuria
Venons en à la très bonne surprise de la soirée. LEAVES'EYES monte sur scène, au décor des terres Viking, pour nous asséner son metal symphonique aux sonorités agressives. Le set démarre avec le très accrocheur SIGN OF THE DRGONHEAD tiré du dernier opus du groupe. Nous nous apercevons tout de suite que le groupe n'est pas là pour enfiler des perles, mais pour profiter du temps imparti en délivrant un show intense. La belle Elina Siirala, nouvelle vocaliste du band, se démarque de sa prédécesseur en apportant véritablement un gros plus au niveau énergie. Il faut dire aussi que la demoiselle est parfaitement secondée par Alexander Krull, au physique imposant de guerrier Viking. Le public est très réceptif et s'en donne à coeur joie sur le très dansant SWORDS IN ROCK ou encore RIDERS ON THE WIND qui ressemble à un hymne à la victoire des guerriers Nordiques rentrant au pays. Les musiciens du groupe ne sont pas en reste et accompagnent parfaitement nos deux vocalistes, faisant de ce show le moment le plus intense le la soirée. Pour clôturer le set, Krull, reviendra sur scène affublé d'un costume de Viking avec un casque et épée à la main sur le titre BLAZING WATERS. LEAVES'EYES nous aura gratifié d'un show sans fausses notes et en tout point festif.
Setlist Leaves'Eyes :
1. Sign of the Dragonhead
2. Across the Sea
3. Swords in Rock
4. Edge of Steel
5. Riders on the Wind
6. Hell to the Heavens
7. Beowulf
8. Blazing Waters
Place maintenant au maître de cérémonie, KAMELOT. La scène est inondée de fumée lorsque Tommy Karevik fait son apparition sous une capuche noire. la fumée se dissipant, on peut admirer le très beau décor du groupe ainsi qu'un light show magnifique et imposant. Il ne mettra malheureusement jamais les artistes en valeur. Sur PHANTOM DIVINE (Shadow Empire), premier titre du set, Lauren Hart (Once Human) fera sa première apparition de la soirée pour assurer les Growls. Les titres s'enchainent sans réelle surprise hormis celle de ne voir seulement que quatre morceaux issus du dernier opus du band. Sur le devant de la scène ma première déception vient de Tommy qui restera, à mon goût, beaucoup trop discret ne parvenant jamais à créer l'osmose parfaite avec son public. Même reproche pour Thomas Youngblood qui restera la plupart du temps dans son coin, mais je vous rassure en interprétant ses solos à la perfection . Alors oui tant au niveau musical que vocal ces deux là sont d'un excellent niveau et nous en ferons la démonstration, mais ce soir j'ai l'impression qu'ils sont sur la retenue. Seul Sean Tibbetts, à la basse, tiendra son rôle à merveille. Cela tranche vraiment avec leur prestation de 2015 à la Cigale de Paris. Ce set se terminera tout de même sur une très bonne note avec le titre LIAR LIAR.
Setlist Kamelot :
1. Phantom Divine (Shadow Empire)
2. Rule the World
3. Insomnia
4. The Great Pandemonium
5. When the Lights are Down
6. My Confession
7. Veil of Elysium
8. RavenLight
9. End of Innocence
10. Here's to the Fall
11. March of Mephisto
12. Amnesiac
13. Sacrimony (Angel of Afterlife)
14. Keyboard and Drum Performance
15. Forever
16. Burns to Embrace
17. Liar Liar (Wasteland Monarchy)
Pour moi cette soirée aura été en demi teinte avec le talent de Clémentine Delauney qui tire vraiment VISIONS OF ATLANTIS vers le haut. Le très bon concert de LEAVES'EYES et de Elina Siirala qui fait totalement oublier Liv Kristine et le show de KAMELOT sans énergie malgré la réelle qualité de sa discographie.