The Raven Age a la lourde tâche d'ouvrir la mainstage en ce dernier jour de festival. Peu de monde donc devant la mainstage 1, bien qu'un des membres du groupe soit le fils de Steve Harris.
Après une intro acoustico épique, le groupe démarre le set avec “Betrayal of the Mind”. Le chanteur Mat n'est pas en forme au point que sa voix sonne faux. Le chant est trop fort et le son est vraiment brouillon.
Il tente de réveiller le peu de public présent en lançant un “Good Morning Hellfest how you're doin'?”, avant d'entamer le second titre “Promised Land”. Le public est néanmoins réactif à ce mid tempo efficace mais Mat n'est décidément pas en forme.
Le groupe enchaîne avec leur nouveau single “Surrogate”, puis “My revenge”, sur lequel on constate que la voix de Mat ne suit toujours pas et le public non plus d'ailleurs. Il n'y a que sur le 5ème titre, “Angel in disgrace”, que le public réagit à minima, sortant ainsi de sa léthargie. Mais le titre n'est pas vraiment taillé pour le live, avec une rythmique complexe et des lignes vocales qui n'incitent pas à la communion avec le public.
Le set proposé par The Raven Age reste somme toute classique et pas inoubliable.
Après une intro acoustico épique, le groupe démarre le set avec “Betrayal of the Mind”. Le chanteur Mat n'est pas en forme au point que sa voix sonne faux. Le chant est trop fort et le son est vraiment brouillon.
Il tente de réveiller le peu de public présent en lançant un “Good Morning Hellfest how you're doin'?”, avant d'entamer le second titre “Promised Land”. Le public est néanmoins réactif à ce mid tempo efficace mais Mat n'est décidément pas en forme.
Le groupe enchaîne avec leur nouveau single “Surrogate”, puis “My revenge”, sur lequel on constate que la voix de Mat ne suit toujours pas et le public non plus d'ailleurs. Il n'y a que sur le 5ème titre, “Angel in disgrace”, que le public réagit à minima, sortant ainsi de sa léthargie. Mais le titre n'est pas vraiment taillé pour le live, avec une rythmique complexe et des lignes vocales qui n'incitent pas à la communion avec le public.
Le set proposé par The Raven Age reste somme toute classique et pas inoubliable.