En ce lundi 9 décembre de grève, nous bravons tous les obstacles pour venir voir Alter Bridge à l'Olympia accompagné de deux groupes qui pourraient parfaitement faire la Headline : The Raven Age et Shinedown, très belle soirée en perspective.
Un concert que nous devons à Gérard Drouot Production et qui affiche complet si tous les fans réussissent à arriver à l'Olympia avec les mouvements sociaux…
The Raven Age ouvre le bal avec une belle intro à la guitare acoustique tirée du dernier opus « Conspiracy », suivie du morceau explosif « betrayal of the mind » qui donne de suite le ton.
Dès le début et ce pendant tout leur show le chanteur, Matt JAMES communique énormément avec le public : « Bonsoir Paris, Put your fist in the air, clap your hands.. »
Les londoniens ont un jeu de scène assez remarquable, changeant de place en se croisant ou jouant face à face, micro et même guitare en l'air et toujours avec le sourire et dégageant une énergie ressentie par le public qui commence à être chaud.
De magnifiques solos ponctuent les morceaux presque tous tirés de leur dernier album, avec en prime une nouvelle chanson ou l'on retrouve à nouveau la guitare acoustique et un chant à trois voix qui vient terminé le live.
Après un dernier scream puissant, The Raven Age fait un selfie géant marquant leur nouveau passage à paris.
Setlist :
1- Bloom of the Poison Seed
2- Betrayal of the Mind
3- Surrogate
4- The Day the World Stood Still
5- Fleur de lis
6- The Face that Launched a Thousand Ships
7- Seventh Heaven
8- Angel in Disgrace
Après une courte pause c'est au tour de Shinedown de mettre le feu à l'Olympia.
L'introduction est digne d'un début de spectacle genre cirque ou de magicien, les tenues toutes classes jaunes et noires accentuent encore plus le côté show à l ‘américaine.
Dès le premier morceau : « devil » la voix puissante et envahissante de Brent SMITH résonne au milieu d ‘un jeu de lumières stroboscopiques avec un public en délire.
La salle, pleine à craquer, saute toute entière sur chaque morceau et fait vibrer le plancher.
Le chanteur à un jeu de scène digne d'un acteur de cinéma, participe avec ses musiciens et son public, jusqu'à lancer des t-shirts dans le public et fera même usage d'un modèle spécial de notre bon vieux lance patate pour atteindre le fond de la salle ou le balcon.
Les 4 américains prennent leur pied sur scène et c'est contagieux !
Brent SMITH, pour ne pas dire le groupe dans sa totalité, nous montre à nouveau à quel point il aime les gens et qu'il est un homme terriblement attachant, il ne manquera donc pas de serrer la main de chaque photographes présent dans le pit photo et ira faire un petit tour au milieu de ses fans comme il aime tellement le faire.
Les premières notes de ‘Brillant' résonnent ce qui veut dire que c'est le dernier morceau que Shinedown jouera pour faire vibrer l'Olympia.
Un show de dingue, Shinedown a tout simplement tout explosé et retourné l'Olympia tellement l'énergie positive émanant du groupe à envahie la salle…
Merci Shinedown.
Setlist :
1- Devil
2- Diamond Eyes
3- Enemies
4- Monster
5- Get Up
6- Cut the cCord
7- Second Chance
8- Simple man
9- Sound of Madness
10-Brilliant
Après une dernière pause, les tant attendus Alter Bridge font leur apparition tous vêtus de noir.
Dans le fond un immense décor composé de cinq grands panneaux vidéos nous feront tripper à travers tous les morceaux retraçant le parcours du groupe de leur premier album « One Day Remains » (2004) à leur dernier opus « Walk The Sky » (2019).
La salle est en délire, le public est même debout dans les balcons pour les accueillir.
« I wanna hear you scream » hurle Myles Kennedy très proche de son public pendant tout le set. Il prend le temps de saluer l'Olympia, de féliciter les deux groupes précédents et exprime sa joie d'être ici à Paris.
Les morceaux sont tous ponctués de majestueux solos, entre la guitare de Myles et celle de Marc Tremonti notamment sur le morceau ‘Blackbird' sans oublié l'excellent solo de basse de Brian Marshall sur ‘Cry of Achilles'.
Le public connaît tous les morceaux, reprend tous les refrains entièrement comme celui de ‘Come to Life', les fans sont clairement au rendez vous…
Sur les fonds d'écran défilent des vagues, des fonds marins, des visages hypnotiques jusqu'au majestueux Phoenix du célèbre morceau ‘Blackbird' déjà précédemment cité.
Un moment marquant vient s'inscrire dans la setlist : le morceau ‘Hallelujah' repris par Myles Kennedy avec sa seule guitare transmettant ainsi une énorme émotion dans la salle avec sa voix si transperçante et résonante.
Il est hélas déjà temps de se dire au revoir et le groupe de Floride repart sous des applaudissements soutenus qui n'en finissent plus.
Le public quitte l'Olympia toujours sous le charme de ce qu'il vient de vivre en se demandant qu'en est ce qu'il pourront à nouveau vivre cela…
.
Setlist :
1- Wouldn't you Rather
2- Isolation
3- Come to Life
4- Pay no Mind
5- Ghost of Days Gone By
6- Native Son
7- Rise Today
8- In the Deep
9- Cry of Achilles
10-Waters Rising
11-Hallelujah (Leonard Cohen cover)
12-Blackbird
13-Open Your Eyes
14-Metalingus
15-Godspeed
16-Addicyed ti Pain
Report by Lyndya Ag
Un concert que nous devons à Gérard Drouot Production et qui affiche complet si tous les fans réussissent à arriver à l'Olympia avec les mouvements sociaux…
The Raven Age ouvre le bal avec une belle intro à la guitare acoustique tirée du dernier opus « Conspiracy », suivie du morceau explosif « betrayal of the mind » qui donne de suite le ton.
Dès le début et ce pendant tout leur show le chanteur, Matt JAMES communique énormément avec le public : « Bonsoir Paris, Put your fist in the air, clap your hands.. »
Les londoniens ont un jeu de scène assez remarquable, changeant de place en se croisant ou jouant face à face, micro et même guitare en l'air et toujours avec le sourire et dégageant une énergie ressentie par le public qui commence à être chaud.
De magnifiques solos ponctuent les morceaux presque tous tirés de leur dernier album, avec en prime une nouvelle chanson ou l'on retrouve à nouveau la guitare acoustique et un chant à trois voix qui vient terminé le live.
Après un dernier scream puissant, The Raven Age fait un selfie géant marquant leur nouveau passage à paris.
Setlist :
1- Bloom of the Poison Seed
2- Betrayal of the Mind
3- Surrogate
4- The Day the World Stood Still
5- Fleur de lis
6- The Face that Launched a Thousand Ships
7- Seventh Heaven
8- Angel in Disgrace
Après une courte pause c'est au tour de Shinedown de mettre le feu à l'Olympia.
L'introduction est digne d'un début de spectacle genre cirque ou de magicien, les tenues toutes classes jaunes et noires accentuent encore plus le côté show à l ‘américaine.
Dès le premier morceau : « devil » la voix puissante et envahissante de Brent SMITH résonne au milieu d ‘un jeu de lumières stroboscopiques avec un public en délire.
La salle, pleine à craquer, saute toute entière sur chaque morceau et fait vibrer le plancher.
Le chanteur à un jeu de scène digne d'un acteur de cinéma, participe avec ses musiciens et son public, jusqu'à lancer des t-shirts dans le public et fera même usage d'un modèle spécial de notre bon vieux lance patate pour atteindre le fond de la salle ou le balcon.
Les 4 américains prennent leur pied sur scène et c'est contagieux !
Brent SMITH, pour ne pas dire le groupe dans sa totalité, nous montre à nouveau à quel point il aime les gens et qu'il est un homme terriblement attachant, il ne manquera donc pas de serrer la main de chaque photographes présent dans le pit photo et ira faire un petit tour au milieu de ses fans comme il aime tellement le faire.
Les premières notes de ‘Brillant' résonnent ce qui veut dire que c'est le dernier morceau que Shinedown jouera pour faire vibrer l'Olympia.
Un show de dingue, Shinedown a tout simplement tout explosé et retourné l'Olympia tellement l'énergie positive émanant du groupe à envahie la salle…
Merci Shinedown.
Setlist :
1- Devil
2- Diamond Eyes
3- Enemies
4- Monster
5- Get Up
6- Cut the cCord
7- Second Chance
8- Simple man
9- Sound of Madness
10-Brilliant
Après une dernière pause, les tant attendus Alter Bridge font leur apparition tous vêtus de noir.
Dans le fond un immense décor composé de cinq grands panneaux vidéos nous feront tripper à travers tous les morceaux retraçant le parcours du groupe de leur premier album « One Day Remains » (2004) à leur dernier opus « Walk The Sky » (2019).
La salle est en délire, le public est même debout dans les balcons pour les accueillir.
« I wanna hear you scream » hurle Myles Kennedy très proche de son public pendant tout le set. Il prend le temps de saluer l'Olympia, de féliciter les deux groupes précédents et exprime sa joie d'être ici à Paris.
Les morceaux sont tous ponctués de majestueux solos, entre la guitare de Myles et celle de Marc Tremonti notamment sur le morceau ‘Blackbird' sans oublié l'excellent solo de basse de Brian Marshall sur ‘Cry of Achilles'.
Le public connaît tous les morceaux, reprend tous les refrains entièrement comme celui de ‘Come to Life', les fans sont clairement au rendez vous…
Sur les fonds d'écran défilent des vagues, des fonds marins, des visages hypnotiques jusqu'au majestueux Phoenix du célèbre morceau ‘Blackbird' déjà précédemment cité.
Un moment marquant vient s'inscrire dans la setlist : le morceau ‘Hallelujah' repris par Myles Kennedy avec sa seule guitare transmettant ainsi une énorme émotion dans la salle avec sa voix si transperçante et résonante.
Il est hélas déjà temps de se dire au revoir et le groupe de Floride repart sous des applaudissements soutenus qui n'en finissent plus.
Le public quitte l'Olympia toujours sous le charme de ce qu'il vient de vivre en se demandant qu'en est ce qu'il pourront à nouveau vivre cela…
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Setlist :
1- Wouldn't you Rather
2- Isolation
3- Come to Life
4- Pay no Mind
5- Ghost of Days Gone By
6- Native Son
7- Rise Today
8- In the Deep
9- Cry of Achilles
10-Waters Rising
11-Hallelujah (Leonard Cohen cover)
12-Blackbird
13-Open Your Eyes
14-Metalingus
15-Godspeed
16-Addicyed ti Pain
Report by Lyndya Ag