Ce soir au Petit bain nous retrouvons Shâarghot, groupe parisien mélangeant avec efficacité le Metal, l'Electro et l'Indus.
Nous sommes en plein mois de juillet et malgré cela les fans de Shâarghot sont la bien avant l'ouverture de la salle et la salle se remplira à toute vitesse. Un peu de retard sur le planning prévu et Shâarghot arrive enfin sur scène d'une manière toute martiale limite armée russe pour Clem (bassiste) et Brunot (guitariste).
Tout le monde est en place et pan c'est parti on en prend plein la tronche avec « Uman Is Jaw », le son des sirènes d'ambulances, que l'on entend en fond au début du morceau, sont prémonitoires car promis ça va saigner. Dès les premiers riffs assassins la foule, qui scandait le nom de Shâarghot, explose en voyant le Shaarghot muni de sa batte de baseball « Fuck The World » l'haranguer.
Planté dans son univers post apocalyptique cyberpunk le groupe nous emmène dans son univers musical à la fois torturé et délirant. En parlant de délire que dire de la goule, être unforme se baladant sur scène, qui ramasse des coups de pompe du Shâarghot avant d'être jetée dans la foule qui la soulève pour mieux la ramener aux pieds de son Maitre afin qu'il s'en serve de cheval et qu'il parcourt la scène sur son dos.
La goule tantôt souffre-douleur tantôt complice du Shâarghot quand il faut défoncer un tonneau à coups de bâton en regardant la foule slamer et pogoter (ce qui rend au passage le métier de photographe très délicat mais au combien bon…).
Comble du bonheur Shâarghot nous fait l'honneur d'un tout nouveau titre « Kill Your God ». Et bien voici un titre accueilli sous les pogos de la foule en délire. Ce morceau associe une guitare dont les accords nous scient en deux, une basse qui claque et des sons électro à foison qui nous filent la bougeotte un truc de dingue.
Hâte de découvrir les nouveaux morceaux dans le prochain album.
Je m'octroie une pause de quelques secondes pour juste observer la foule et putain c'est tout simplement de la folie, on croirait que l'eau est entrée dans la péniche du petit bain car on voit juste une belle vague humaine.
Une vague coupée en deux quand arrivera le temps d'un Wall of Death. Oui vous ne rêvez pas, Shâarghot à réussi l'exploit de provoquer un Wall of Death dans la fosse du Petit Bain. Au passage je vous laisse deviner quel est le petit être tout fragile qui se retrouve tout seul isolé entre les deux murs avant le choc...notre amie la goule...elle est sado-maso je ne vois pas d'autre explication!!!
L'intensité, l'énergie et la puissance dégagées par la musique de Shâarghot m'impressionnent à chaque fois et remplissent la foule de vie.
C'est déjà la fin du set et nous sommes déjà tous en manque, on aimerait un ou deux autres titres.
Je n'ai qu'une chose à dire : Merci à Shâarghot et à bientôt bordel.
En fait j'ai une seconde chose à dire, à vous qui lisez ces quelques lignes : Venez transpirer et vivre au son de Shâarghot...
Set list : Uman Iz Jaws / Mad Party / No Solution / Shâarghot / Kill Your God / The Way / U.K.T.T.O.M.H / Traders Must Die / Sandstorm Calling / Break Your Body / Azerty
Nous sommes en plein mois de juillet et malgré cela les fans de Shâarghot sont la bien avant l'ouverture de la salle et la salle se remplira à toute vitesse. Un peu de retard sur le planning prévu et Shâarghot arrive enfin sur scène d'une manière toute martiale limite armée russe pour Clem (bassiste) et Brunot (guitariste).
Tout le monde est en place et pan c'est parti on en prend plein la tronche avec « Uman Is Jaw », le son des sirènes d'ambulances, que l'on entend en fond au début du morceau, sont prémonitoires car promis ça va saigner. Dès les premiers riffs assassins la foule, qui scandait le nom de Shâarghot, explose en voyant le Shaarghot muni de sa batte de baseball « Fuck The World » l'haranguer.
Planté dans son univers post apocalyptique cyberpunk le groupe nous emmène dans son univers musical à la fois torturé et délirant. En parlant de délire que dire de la goule, être unforme se baladant sur scène, qui ramasse des coups de pompe du Shâarghot avant d'être jetée dans la foule qui la soulève pour mieux la ramener aux pieds de son Maitre afin qu'il s'en serve de cheval et qu'il parcourt la scène sur son dos.
La goule tantôt souffre-douleur tantôt complice du Shâarghot quand il faut défoncer un tonneau à coups de bâton en regardant la foule slamer et pogoter (ce qui rend au passage le métier de photographe très délicat mais au combien bon…).
Comble du bonheur Shâarghot nous fait l'honneur d'un tout nouveau titre « Kill Your God ». Et bien voici un titre accueilli sous les pogos de la foule en délire. Ce morceau associe une guitare dont les accords nous scient en deux, une basse qui claque et des sons électro à foison qui nous filent la bougeotte un truc de dingue.
Hâte de découvrir les nouveaux morceaux dans le prochain album.
Je m'octroie une pause de quelques secondes pour juste observer la foule et putain c'est tout simplement de la folie, on croirait que l'eau est entrée dans la péniche du petit bain car on voit juste une belle vague humaine.
Une vague coupée en deux quand arrivera le temps d'un Wall of Death. Oui vous ne rêvez pas, Shâarghot à réussi l'exploit de provoquer un Wall of Death dans la fosse du Petit Bain. Au passage je vous laisse deviner quel est le petit être tout fragile qui se retrouve tout seul isolé entre les deux murs avant le choc...notre amie la goule...elle est sado-maso je ne vois pas d'autre explication!!!
L'intensité, l'énergie et la puissance dégagées par la musique de Shâarghot m'impressionnent à chaque fois et remplissent la foule de vie.
C'est déjà la fin du set et nous sommes déjà tous en manque, on aimerait un ou deux autres titres.
Je n'ai qu'une chose à dire : Merci à Shâarghot et à bientôt bordel.
En fait j'ai une seconde chose à dire, à vous qui lisez ces quelques lignes : Venez transpirer et vivre au son de Shâarghot...
Set list : Uman Iz Jaws / Mad Party / No Solution / Shâarghot / Kill Your God / The Way / U.K.T.T.O.M.H / Traders Must Die / Sandstorm Calling / Break Your Body / Azerty