Nous sommes le 20 septembre 2019 et ce n'est pas n'importe quel jour car ce soir nous aurons la chance de profiter d'un concert très attendu à savoir celui d'Alice Cooper et ce en plus, dans une salle tout simplement magnifique : La Seine Musicale. Les petits chanceux qui auront e privilège d'ouvrir les débats sont les membres de Black Stone Cherry.
Je suppose qu'il n'est pas nécessaire de préciser que nous devons un tel événement à nos amis de Gérard Drouot Productions.
La première partie étant programmée à 20 heures les fans prennent leur temps pour arriver et pour traverser Paris la salle étant à Boulogne Billancourt dans le 92 résultat, cette dernière se remplie tout tranquillement mais surement même si la date n'est pas annoncé « Sold Out » ce qui est bien surprenant vue ce qui nous attend…
Ding dong c'est l ‘heure d'éteindre les lumières et d'accueillir les Black Stone Cherry. Les Black Stone Cherry est un groupe de rock, bon ok un rock énervé, américain originaire du Kentucky. Le groupe à cinq albums au compteur dont « Kentucky » en 2016, c'est ça d'être fier de ses origines, et « Familly Tree » le dernier en date qui met également l'accès sur l'importance de ses origines.
Musicalement parlant y a pas de surprises, nous avons affaire à un rock bien costaud comme seuls les cowboys sont capable de nous offrir. C'est pêchu, pour ne pas dire viril, les riffs sont précis et ça nous percute en permanence. Sur scène c'est le bordel quand on voit Ben WELLS (guitare et chant) qui fait des sauts de partout et court de droite à gauche et ce au même titre que Jon LAWHON (basse et chant). Coté énergie nous avons également John Fred YOUNG à la batterie qui explose ses futs tout en jouant avec son micro qu'il envoi valser dès qu'il en à l'occasion. Pour le petit dernier de la bande, Chris ROBERTSON, c'est moins démonstratif, à la fois il est le chanteur principal et guitariste donc on ne peut tout faire, mais ça présence sur scène en impose sévère avec sa casquette digne de ces fameux cowboys dont je parlais plus haut.
Nous avons été secoué comme si nous avions participé à une compétition de rodéo. On ne pouvait pas rêver mieux pour débuter cette soirée qui s'annonce vraiment sous les meilleurs auspices alors un grand merci à Black Stone Cherry pour cette fougue et nous espérons vous revoir bientôt…
Setlist :
1- Burnin'
2- Me and Mary Jane
3- Blind Man
4- In My Blood
5- Blame It on the Boom Boom
6- White Trash Millionaire
7- Lonely Train
8- Cheaper to Drink Alone
9- Family Tree
Black Stone Cherry nous a donc dit au revoir et les roadies débarrassent la scène, nous savons que nous n'avons eu le moindre aperçu de la déco qui nous attend pour le show d'Alice Cooper, une déco qui est bien cachée derrière un rideau, nous espérons un faux mouvement des petites mains pour apercevoir un morceau du décor mais non le rideau ne bouge pas d'un centimètre, donc patience c'est bientôt l'heure…
Ca y es le grand moment est enfin arrivé, le rideau tombe et nous dévoile enfin Alice Cooper et sa bande ainsi que l'écrin dans lequel le groupe va évoluer et quel déco de ouf !!!
Nous trouvons en arrière plan à un écran géant ou défileront différentes images ou cinématiques en lien avec les titres que le groupe jouera. En second plan nous avons le droit à une muraille de château fort avec son tour de garde et son donjon le tout, agrémenté de piques ou sont empalés des cranes et, juste devant cette muraille trône des cercueils ou autres cadavres en mode zombis certains portant un Gibus.
En ce qui concerne le premier plan je pense que vous avez compris que nous avons le plus importante de la soirée : Alice Cooper et son groupe qui sont venus nous en mettre plein la vue et plein les oreilles. A la fois avec trois guitaristes, un bassiste, un batteur et Alice en frontman autant vous dire que les yeux et les oreilles vont sévèrement être mis à contribution.
Alice Cooper se présente face à nous, au centre de la scène, avec la grande classe que nous lui connaissons, canne anglaise à la main, démarche sûre et virile il se dirige vers nous, nous toise du regard et c'est parti pour le show.
Coté show l'on va être plus que gâté, car nous aurons le droit à un vrai concert à l'américaine le tout surmonté des riffs et rythmes du rock incomparable dont seul Alice Cooper détient les secrets.
Vous n'étiez pas là, alors voici pêle-mêle et dans le désordre ce que vous avez raté et qui va clairement vous donner envie de ne pas louper le prochain concert d'Alice Cooper.
Nous nous trouverons en présence d'un Alice Cooper jouant de la muleta à la perfection, ou encore faisant la cour à une femme vampirique sortie d'outre tombe vêtue d'une robe de mariée, femme qu'il embrassera du haut des remparts tel un amant déchu tandis que l'heureuse élue lancera son bouquet de « Mme COOPER, » bouquet formé de roses rouge qui sera réceptionné avec entrain et brio par la belle Nita STRAUUS (guitare et chant). Se mariera au cours l'année ??? Affaire à suivre…
Après le morceau ‘Poison' et une bande son en mode film d'ambiance à grand renfort de bruits de bois qui travaille, de pluie et orage (d'ailleurs cela rappel le film « Projet Blairwitch) Nita STRAUSS, guitariste de renom va, en plus d'une excellente prestation tout au long du concert malgré un état de santé pas au top, nous gratifier d'un solo endiablé introduisant le titre ‘Roses on White Lace'.
En parlant de solo Glen SOBEL (batterie) nous fera également l'honneur d'un solo comme on les adore, solo qui se terminera une fois rejoint par le reste du groupe. Glen SOBEL étant rejoint dans un premier temps par Chuck GARRIC (basse et chant) puis par les trois guitaristes avant de jouer le titre ‘Steven'.
Parlons en du titre ‘Steven' enchainé à ‘Dead Babies' ou nous retrouvons notre Alice Cooper en asile psychiatrique, camisole de force en place et un bébé dans les bras (je rassure de suite les associations de protection de l'enfance, que nous remercions pour leur travail, mais il ne s'agit que d'une mise en scène et d'un poupon…). Toute fois Alice va se libérer de sa camisole et vouloir décapiter ce poupon tout mignon avec une feuille de boucher ce qui nécessitera l'intervention conjointe d'un bébé méga géant (avec une bonne tête de fou) sorti de la tour du donjon, de l'infirmière de garde (infirmière probablement aussi dérangé, soit dit en passant, que le personnage joué par Alice Cooper) et du personnel hospitalier représenté par des hommes à têtes disproportionnées.
Cette intervention hospitalière provocant obligatoirement la punition du vilain Alice et sa décapitation à l'aide d'une guillotine. Une fois la tête séparée du corps voilà que « bébé géant » (au moins trois bons mètres de haut) joue fièrement avec la tête d'Alice Cooper comme ci il s'agissait d'un trophée !!!
Précisons que pendant que tout cela se déroule devant nous l'écran géant en fond de scène nous envoie des dessins de bébés nous faisant plus penser à « Chucky » qu'à des nouveaux nés adorables…
Je ne vous livrerai pas dans ce report tous les secrets du concert d'Alice Cooper car il faut clairement aller le voir alors en Live alors les amis, prenez votre billet dès que possible et allez acclamer une icône du rock mondial.
Ce fut comme vous pouvez vous en douter une soirée EXCEPTIONNELLLE et je tiens à remercier une nouvelle fois Gérard Drouot Production de nous avoir offert un tel cadeau.
Setlist :
1- Feed My Frankenstein
2- No More Mr. Nice Guy
3- Bed od Nails
4- Raped and Freezin'
5- Fallen In Love
6- Muscle of Love
7- He's Back (The Man Behind the Mask)
8- I'm Eighteen
9- Billion Dollar Babies
10-Poison
11-Guitar Solo (Nita Strauss)
12-Roses on White Lace
13-My Stars
14-Devil's Food (band only jam)
15-Black Window Jam (with ‘Black Juju' drum solo)
16-Steven
17-Dead Babies
18-I Love the Daed
19-Escape
20-Teenage Frankenstein
21-Under My Wheels
22-School's Out
Je suppose qu'il n'est pas nécessaire de préciser que nous devons un tel événement à nos amis de Gérard Drouot Productions.
La première partie étant programmée à 20 heures les fans prennent leur temps pour arriver et pour traverser Paris la salle étant à Boulogne Billancourt dans le 92 résultat, cette dernière se remplie tout tranquillement mais surement même si la date n'est pas annoncé « Sold Out » ce qui est bien surprenant vue ce qui nous attend…
Ding dong c'est l ‘heure d'éteindre les lumières et d'accueillir les Black Stone Cherry. Les Black Stone Cherry est un groupe de rock, bon ok un rock énervé, américain originaire du Kentucky. Le groupe à cinq albums au compteur dont « Kentucky » en 2016, c'est ça d'être fier de ses origines, et « Familly Tree » le dernier en date qui met également l'accès sur l'importance de ses origines.
Musicalement parlant y a pas de surprises, nous avons affaire à un rock bien costaud comme seuls les cowboys sont capable de nous offrir. C'est pêchu, pour ne pas dire viril, les riffs sont précis et ça nous percute en permanence. Sur scène c'est le bordel quand on voit Ben WELLS (guitare et chant) qui fait des sauts de partout et court de droite à gauche et ce au même titre que Jon LAWHON (basse et chant). Coté énergie nous avons également John Fred YOUNG à la batterie qui explose ses futs tout en jouant avec son micro qu'il envoi valser dès qu'il en à l'occasion. Pour le petit dernier de la bande, Chris ROBERTSON, c'est moins démonstratif, à la fois il est le chanteur principal et guitariste donc on ne peut tout faire, mais ça présence sur scène en impose sévère avec sa casquette digne de ces fameux cowboys dont je parlais plus haut.
Nous avons été secoué comme si nous avions participé à une compétition de rodéo. On ne pouvait pas rêver mieux pour débuter cette soirée qui s'annonce vraiment sous les meilleurs auspices alors un grand merci à Black Stone Cherry pour cette fougue et nous espérons vous revoir bientôt…
Setlist :
1- Burnin'
2- Me and Mary Jane
3- Blind Man
4- In My Blood
5- Blame It on the Boom Boom
6- White Trash Millionaire
7- Lonely Train
8- Cheaper to Drink Alone
9- Family Tree
Black Stone Cherry nous a donc dit au revoir et les roadies débarrassent la scène, nous savons que nous n'avons eu le moindre aperçu de la déco qui nous attend pour le show d'Alice Cooper, une déco qui est bien cachée derrière un rideau, nous espérons un faux mouvement des petites mains pour apercevoir un morceau du décor mais non le rideau ne bouge pas d'un centimètre, donc patience c'est bientôt l'heure…
Ca y es le grand moment est enfin arrivé, le rideau tombe et nous dévoile enfin Alice Cooper et sa bande ainsi que l'écrin dans lequel le groupe va évoluer et quel déco de ouf !!!
Nous trouvons en arrière plan à un écran géant ou défileront différentes images ou cinématiques en lien avec les titres que le groupe jouera. En second plan nous avons le droit à une muraille de château fort avec son tour de garde et son donjon le tout, agrémenté de piques ou sont empalés des cranes et, juste devant cette muraille trône des cercueils ou autres cadavres en mode zombis certains portant un Gibus.
En ce qui concerne le premier plan je pense que vous avez compris que nous avons le plus importante de la soirée : Alice Cooper et son groupe qui sont venus nous en mettre plein la vue et plein les oreilles. A la fois avec trois guitaristes, un bassiste, un batteur et Alice en frontman autant vous dire que les yeux et les oreilles vont sévèrement être mis à contribution.
Alice Cooper se présente face à nous, au centre de la scène, avec la grande classe que nous lui connaissons, canne anglaise à la main, démarche sûre et virile il se dirige vers nous, nous toise du regard et c'est parti pour le show.
Coté show l'on va être plus que gâté, car nous aurons le droit à un vrai concert à l'américaine le tout surmonté des riffs et rythmes du rock incomparable dont seul Alice Cooper détient les secrets.
Vous n'étiez pas là, alors voici pêle-mêle et dans le désordre ce que vous avez raté et qui va clairement vous donner envie de ne pas louper le prochain concert d'Alice Cooper.
Nous nous trouverons en présence d'un Alice Cooper jouant de la muleta à la perfection, ou encore faisant la cour à une femme vampirique sortie d'outre tombe vêtue d'une robe de mariée, femme qu'il embrassera du haut des remparts tel un amant déchu tandis que l'heureuse élue lancera son bouquet de « Mme COOPER, » bouquet formé de roses rouge qui sera réceptionné avec entrain et brio par la belle Nita STRAUUS (guitare et chant). Se mariera au cours l'année ??? Affaire à suivre…
Après le morceau ‘Poison' et une bande son en mode film d'ambiance à grand renfort de bruits de bois qui travaille, de pluie et orage (d'ailleurs cela rappel le film « Projet Blairwitch) Nita STRAUSS, guitariste de renom va, en plus d'une excellente prestation tout au long du concert malgré un état de santé pas au top, nous gratifier d'un solo endiablé introduisant le titre ‘Roses on White Lace'.
En parlant de solo Glen SOBEL (batterie) nous fera également l'honneur d'un solo comme on les adore, solo qui se terminera une fois rejoint par le reste du groupe. Glen SOBEL étant rejoint dans un premier temps par Chuck GARRIC (basse et chant) puis par les trois guitaristes avant de jouer le titre ‘Steven'.
Parlons en du titre ‘Steven' enchainé à ‘Dead Babies' ou nous retrouvons notre Alice Cooper en asile psychiatrique, camisole de force en place et un bébé dans les bras (je rassure de suite les associations de protection de l'enfance, que nous remercions pour leur travail, mais il ne s'agit que d'une mise en scène et d'un poupon…). Toute fois Alice va se libérer de sa camisole et vouloir décapiter ce poupon tout mignon avec une feuille de boucher ce qui nécessitera l'intervention conjointe d'un bébé méga géant (avec une bonne tête de fou) sorti de la tour du donjon, de l'infirmière de garde (infirmière probablement aussi dérangé, soit dit en passant, que le personnage joué par Alice Cooper) et du personnel hospitalier représenté par des hommes à têtes disproportionnées.
Cette intervention hospitalière provocant obligatoirement la punition du vilain Alice et sa décapitation à l'aide d'une guillotine. Une fois la tête séparée du corps voilà que « bébé géant » (au moins trois bons mètres de haut) joue fièrement avec la tête d'Alice Cooper comme ci il s'agissait d'un trophée !!!
Précisons que pendant que tout cela se déroule devant nous l'écran géant en fond de scène nous envoie des dessins de bébés nous faisant plus penser à « Chucky » qu'à des nouveaux nés adorables…
Je ne vous livrerai pas dans ce report tous les secrets du concert d'Alice Cooper car il faut clairement aller le voir alors en Live alors les amis, prenez votre billet dès que possible et allez acclamer une icône du rock mondial.
Ce fut comme vous pouvez vous en douter une soirée EXCEPTIONNELLLE et je tiens à remercier une nouvelle fois Gérard Drouot Production de nous avoir offert un tel cadeau.
Setlist :
1- Feed My Frankenstein
2- No More Mr. Nice Guy
3- Bed od Nails
4- Raped and Freezin'
5- Fallen In Love
6- Muscle of Love
7- He's Back (The Man Behind the Mask)
8- I'm Eighteen
9- Billion Dollar Babies
10-Poison
11-Guitar Solo (Nita Strauss)
12-Roses on White Lace
13-My Stars
14-Devil's Food (band only jam)
15-Black Window Jam (with ‘Black Juju' drum solo)
16-Steven
17-Dead Babies
18-I Love the Daed
19-Escape
20-Teenage Frankenstein
21-Under My Wheels
22-School's Out