Cette soirée métal atypique, organisée par la nouvelle association “So move” (dirigée par la jeune Philaé Lachaux, qui fera sûrement parler d'elle très bientôt) fut riche en surprises.
Les Monkey's Bollocks ouvrirent le bal et furent assurément le groupe le plus barjo de la soirée ! Ils surprirent et étonnèrent tout le monde : sous leurs airs de jeunots, aucun manque d'expérience ne transparaissait. Des mises en scènes théâtrales et complètements folles mirent l'ambiance. Durant le concert, un spectateur en costume squatta la scène pour se déshabiller et revêtir une grenouillère en forme de singe, mit le boxon sur scène et dans le public ; le chanteur enfila un masque de luchador mexicain, sauta de la scène, plaqua le singe au sol tel un catcheur professionnel, puis feignit un combat en pleine fosse ! Je n'étais pas le seul bouche bée face à ce saut impressionnant ! Enfin, le groupe nous offrit une dernière belle surprise : l'arrivée d'un (faux) fan au growl à la justesse parfaite. Ce groupe n'est pas qu'une troupe de troubadours, il est constitué de bons musiciens aux influences diverses et variées, d'un gratteux à dreads, treillis et docs à la Hed(pe), d'un chanteur au look de rappeur red-neck à la Limp Bizkit, d'un bassiste rappelant bon nombre de rockeurs américains, et d'un batteur au t-shirt marqué de « In Funk We Trust ». Les Monkey's Bollocks ont mis le feu, nous ont fait sourire, et se sont éclatés ! Belle découverte et très beau show !
Le Djent fut ensuite à l'honneur. Les membres du groupe The Dali Thundering Concept affichèrent pas mal de matos vachement professionnel, des affiches et des lights persos. Le quatuor ne perdit pas de temps et balança son set tel une fusée ! Pas de temps mort, pas de blabla ! La rocket nous emporta avec elle dans les multiples tableaux sonores que nous exposaient les gars, entre riffs bien lourds et mélodies planantes, le tout porté par une voix maîtrisée, entre scream rappé et growl énervé. Dans le public, un mosh pit se créa rapidement et tels de gros météores, les fans se fracassèrent les uns contre les autres, mais toujours dans la joie et la bonne humeur. Bonne humeur que l'on retrouva d'ailleurs sur les visages du groupe, qui, malgré son professionnalisme et son expérience, montrait une passion bien ancrée.
Les Lyonnais d'In Arkadia débarquèrent ensuite sur cette scène du Gibus. Les membres arrivèrent un par un, certains sous l'aspect de fantômes avec masque vénitien, d'autres avec marquages tribaux ou habillés tels des ninjas du groupe « Twelve Foot Ninja » ! Et ce ne fut pas 1 chanteur, mais bien 2 qui se retrouvèrent sur scène ! Les looks étaient cool, la musique aussi, mais très vite, la scène sembla trop petite pour ces deux chanteurs... Eux aussi semblaient faire le show façon catch : l'un d'eux balança un coup de pied sauté, s'écrasant sur la nuque de l'autre, qui par la suite, le repoussa, particulièrement énervé. Pas mal de problèmes techniques survinrent lors du live. On regrettera la perte vocale de l'un des chanteurs qui semblait avoir mal à la gorge au fur et à mesure que le spectacle avançait… Au final, le tout semblait très éparpillé, devenant presque un brouhaha général…
Et finalement, la tête d'affiche, Atlantis Chronicles, arriva. Le groupe était tout aussi bourré de stuffs que TDTC, on sentait l'expertise de la scène et des tournées. Les fans étaient au rendez-vous, et le groupe en fut tout sourire ! Le live débuta et c'est avec une maîtrise hors pair que le batteur enchaîna des motifs aussi variés les uns que les autres. Pour du deathcore/prog vous me direz que c'est la base, mais le calme du batteur était plutôt impressionnant. Et c'est sur cette base que le soliste pu jouer de magnifiques et envoûtantes mélodies, que le bassiste et le guitariste rythmique purent s'éclater sur de bons gros riffs bien puissants et entraînants, pour laisser la place à la puissance abyssale du chanteur, nous contant les histoires des profondeurs aquatiques ! Car oui, Atlantis Chronicles a pour thème la mythologie marine et ça vaut le détour !
Les Monkey's Bollocks ouvrirent le bal et furent assurément le groupe le plus barjo de la soirée ! Ils surprirent et étonnèrent tout le monde : sous leurs airs de jeunots, aucun manque d'expérience ne transparaissait. Des mises en scènes théâtrales et complètements folles mirent l'ambiance. Durant le concert, un spectateur en costume squatta la scène pour se déshabiller et revêtir une grenouillère en forme de singe, mit le boxon sur scène et dans le public ; le chanteur enfila un masque de luchador mexicain, sauta de la scène, plaqua le singe au sol tel un catcheur professionnel, puis feignit un combat en pleine fosse ! Je n'étais pas le seul bouche bée face à ce saut impressionnant ! Enfin, le groupe nous offrit une dernière belle surprise : l'arrivée d'un (faux) fan au growl à la justesse parfaite. Ce groupe n'est pas qu'une troupe de troubadours, il est constitué de bons musiciens aux influences diverses et variées, d'un gratteux à dreads, treillis et docs à la Hed(pe), d'un chanteur au look de rappeur red-neck à la Limp Bizkit, d'un bassiste rappelant bon nombre de rockeurs américains, et d'un batteur au t-shirt marqué de « In Funk We Trust ». Les Monkey's Bollocks ont mis le feu, nous ont fait sourire, et se sont éclatés ! Belle découverte et très beau show !
Le Djent fut ensuite à l'honneur. Les membres du groupe The Dali Thundering Concept affichèrent pas mal de matos vachement professionnel, des affiches et des lights persos. Le quatuor ne perdit pas de temps et balança son set tel une fusée ! Pas de temps mort, pas de blabla ! La rocket nous emporta avec elle dans les multiples tableaux sonores que nous exposaient les gars, entre riffs bien lourds et mélodies planantes, le tout porté par une voix maîtrisée, entre scream rappé et growl énervé. Dans le public, un mosh pit se créa rapidement et tels de gros météores, les fans se fracassèrent les uns contre les autres, mais toujours dans la joie et la bonne humeur. Bonne humeur que l'on retrouva d'ailleurs sur les visages du groupe, qui, malgré son professionnalisme et son expérience, montrait une passion bien ancrée.
Les Lyonnais d'In Arkadia débarquèrent ensuite sur cette scène du Gibus. Les membres arrivèrent un par un, certains sous l'aspect de fantômes avec masque vénitien, d'autres avec marquages tribaux ou habillés tels des ninjas du groupe « Twelve Foot Ninja » ! Et ce ne fut pas 1 chanteur, mais bien 2 qui se retrouvèrent sur scène ! Les looks étaient cool, la musique aussi, mais très vite, la scène sembla trop petite pour ces deux chanteurs... Eux aussi semblaient faire le show façon catch : l'un d'eux balança un coup de pied sauté, s'écrasant sur la nuque de l'autre, qui par la suite, le repoussa, particulièrement énervé. Pas mal de problèmes techniques survinrent lors du live. On regrettera la perte vocale de l'un des chanteurs qui semblait avoir mal à la gorge au fur et à mesure que le spectacle avançait… Au final, le tout semblait très éparpillé, devenant presque un brouhaha général…
Et finalement, la tête d'affiche, Atlantis Chronicles, arriva. Le groupe était tout aussi bourré de stuffs que TDTC, on sentait l'expertise de la scène et des tournées. Les fans étaient au rendez-vous, et le groupe en fut tout sourire ! Le live débuta et c'est avec une maîtrise hors pair que le batteur enchaîna des motifs aussi variés les uns que les autres. Pour du deathcore/prog vous me direz que c'est la base, mais le calme du batteur était plutôt impressionnant. Et c'est sur cette base que le soliste pu jouer de magnifiques et envoûtantes mélodies, que le bassiste et le guitariste rythmique purent s'éclater sur de bons gros riffs bien puissants et entraînants, pour laisser la place à la puissance abyssale du chanteur, nous contant les histoires des profondeurs aquatiques ! Car oui, Atlantis Chronicles a pour thème la mythologie marine et ça vaut le détour !