Organisé par l'association Mosh Room,Toulouse, via l'Usine à Musique reçoit ce soir la Warm Up du Motocultor avec en guise d'entrée le groupe local de Metalcore Ice Cold Shot, en plat de résistance, les bretons Tranzat et leur stoner progressif et en dessert ... et quel dessert, les thrasheux espagnols Angelus Apatrida.
Ouvrant ses portes à 20h précises, la salle de concert est bien remplie pour accueillir dès 20h30 le premier groupe qui arrivera à capter un public certain avec leur Metalcore énergique. Délivrant les huit titres de sa setlist en une grosse demi-heure, le quartet toulousain est très communicatif et ne cesse d'impliquer le public afin de le mettre en jambe pour la suite du show de ce soir.
Toujours une place difficile que d'occuper celle d'ouverture d'un concert; les toulousains ont réussi leur entrée grâce à un show de bonne facture où l'on pouvait capter le bonheur des artistes à se produire ce soir.
Le temps de se jeter une bière au bar de la salle de spectacle que le quartet breton originaire de Brest fait irruption tout vêtu de col roulé blanc.
Venu défendre leur dernier méfait « The Great Disaster », le groupe attaque sa setlist de huit titres en douceur. Découvrant leur musique, le public s'est massé afin de s'imprégner de leur stoner progressif. Assez particulier comme style, la musique des bretons se trouve teintée de plans gras et énergiques au milieu de riffs progressifs. En tant que joyeux lurons, la prestation est parsemée des facéties du guitariste ne cessant de grimacer et de jouer avec le public entre ses riffs inspirés. Ravi d'être sur scène, les protagonistes prennent plaisir à interpréter les morceaux pris en grande partie sur leur premier album « Hellish Psychedelia » et laissent la place toute chaude à la tête d'affiche de la soirée Angelus Apatrida.
Il est près de 23h lorsque les espagnols foulent la scène de l'Usine à Musique. Très attendus, l'ensemble du public s'est comprimé dans la salle du complexe scénique. La salle est comble et le quartet démarre en trombe avec « Sharpen The Guillotine » tiré du dernier album « Cabaret de la Guillotine » paru l'an dernier. Particulièrement énergique et efficace, les espagnols font un set irréprochable d'une bonne heure en ne jouant que des titres dynamiques piochés dans une discographie dense pour ce groupe ayant 20 ans d'existence, au line-up inchangé.
La complicité des membres est palpable, c'est un vrai plaisir à regarder et cette énergie positive se transmet au public qui ne cesse d'headbanguer et de pogoter. Pas de slam, ni de circle pit mais du contact musclé et bon enfant, normal, le thrash des espagnols est festifs et dynamique. Au premier rang, nous assistons au jeu des musiciens sans faille et au ping-pong des solis entre le frontman Guillermo Izquierdo et le lead David Alvarez. La batteur ne cesse d'intensifier le rythme et le bassiste de suivre la cadence infernale avec brio ! Un pur régal à voir en live, Angelus Apatrida est l'exemple même que le thrash est clairement une musique de scène ! Leur prestation donne une autre dimension à leur musique qui se trouve densifier face à un public !
Merci à l'association toulousaine Mosh Room pour cette belle date et félicitation à l'heureux gagnant du pass 4 jours pour le festival qui se déroulera à Saint Nolff du 15 au 19 août prochain.
Ouvrant ses portes à 20h précises, la salle de concert est bien remplie pour accueillir dès 20h30 le premier groupe qui arrivera à capter un public certain avec leur Metalcore énergique. Délivrant les huit titres de sa setlist en une grosse demi-heure, le quartet toulousain est très communicatif et ne cesse d'impliquer le public afin de le mettre en jambe pour la suite du show de ce soir.
Toujours une place difficile que d'occuper celle d'ouverture d'un concert; les toulousains ont réussi leur entrée grâce à un show de bonne facture où l'on pouvait capter le bonheur des artistes à se produire ce soir.
Le temps de se jeter une bière au bar de la salle de spectacle que le quartet breton originaire de Brest fait irruption tout vêtu de col roulé blanc.
Venu défendre leur dernier méfait « The Great Disaster », le groupe attaque sa setlist de huit titres en douceur. Découvrant leur musique, le public s'est massé afin de s'imprégner de leur stoner progressif. Assez particulier comme style, la musique des bretons se trouve teintée de plans gras et énergiques au milieu de riffs progressifs. En tant que joyeux lurons, la prestation est parsemée des facéties du guitariste ne cessant de grimacer et de jouer avec le public entre ses riffs inspirés. Ravi d'être sur scène, les protagonistes prennent plaisir à interpréter les morceaux pris en grande partie sur leur premier album « Hellish Psychedelia » et laissent la place toute chaude à la tête d'affiche de la soirée Angelus Apatrida.
Il est près de 23h lorsque les espagnols foulent la scène de l'Usine à Musique. Très attendus, l'ensemble du public s'est comprimé dans la salle du complexe scénique. La salle est comble et le quartet démarre en trombe avec « Sharpen The Guillotine » tiré du dernier album « Cabaret de la Guillotine » paru l'an dernier. Particulièrement énergique et efficace, les espagnols font un set irréprochable d'une bonne heure en ne jouant que des titres dynamiques piochés dans une discographie dense pour ce groupe ayant 20 ans d'existence, au line-up inchangé.
La complicité des membres est palpable, c'est un vrai plaisir à regarder et cette énergie positive se transmet au public qui ne cesse d'headbanguer et de pogoter. Pas de slam, ni de circle pit mais du contact musclé et bon enfant, normal, le thrash des espagnols est festifs et dynamique. Au premier rang, nous assistons au jeu des musiciens sans faille et au ping-pong des solis entre le frontman Guillermo Izquierdo et le lead David Alvarez. La batteur ne cesse d'intensifier le rythme et le bassiste de suivre la cadence infernale avec brio ! Un pur régal à voir en live, Angelus Apatrida est l'exemple même que le thrash est clairement une musique de scène ! Leur prestation donne une autre dimension à leur musique qui se trouve densifier face à un public !
Merci à l'association toulousaine Mosh Room pour cette belle date et félicitation à l'heureux gagnant du pass 4 jours pour le festival qui se déroulera à Saint Nolff du 15 au 19 août prochain.