La dernière apparition de Kiss au Hellfest datait de 2013 et il était donc logique que Kiss repasse par le Hellfest pour sa tournée d'adieu, la "The End of the Road Tour".
Pour avoir vu Kiss à Madrid un an auparavant autant vous dire que nous craignions que Paul Stanley ne soit plus en capacité d'assurer le chant correctement d'autant plus que certains médias l'accusaient de chanter en playback depuis le début de la tournée aux US (58 shows assurés par le groupe depuis le 31 janvier, avant la date du Hellfest).
La fatigue guettait donc le "bisou" avec en plus des conditions météo difficiles liées à la grosse chaleur qui régnait du côté de Clisson. Pour cette dernière tournée, Kiss a mis les bouchées doubles sur le plan scénique: des plateformes qui montent ou descendent au gré des besoins du show, des explosions, du feu, un écran géant, bref.....Kiss dans toute sa grandeur.
Une fois le rideau Kiss tombé au cri de "Allright Hellfest, you wanted the best you got the best, the hottest band in the world ! Kiss !", les premières notes de "Detroit Rock City" retentissent avec nos super-héros qui arrivent sur scène du haut vers le bas sur 3 grandes plateformes, Gene Simmons à notre gauche, Paul Stanley au milieu et Tommy Thayer à droite. Et le spectacle est tout de suite magique.
Tous les grands classiques de Kiss y passeront (cf. setlist ci-dessous) y compris ceux de la période démaquillée ("Heaven's of Fire", "Lick It Up" et "Crazy Crazy Nights") et les plus récents ("Say Yeah", et "Psycho Circus").
Gene crachera du feu sur "War Machine" (au lieu de "Firehouse" qui a été évincé de la setlist) et du sang sur "God of Thunder", Tommy Thayer balancera ses fusées pendant son solo sur "Cold Gin" et Eric Singer aura droit à son solo de batterie sur "100,000 years" et à sa ballade sur "Beth" pour le premier titre de rappel.
Bien entendu, Paul Stanley n'oubliera pas de traverser la foule sur une perche suspendu et de s'installer sur une petite scène proche de la régie sur laquelle il interpétera "Love Gun" et "I Was Made For Lovin' You". C'est sur dernier titre que Paul a régulièrement eu des difficultés de chant les dernières années, ce qui n'a pas été le cas au Hellfest (ni à Milan et à Zurich, les deux autres dates que nous avons couvert, le 2 et 4 juillet qui ont suivi le Hellfest).
Sur "Crazy Crazy Nights" (avant-dernier titre) de nombreux ballons à l'effigie de Kiss seront balancés dans le public avec comme d'habitude une fin épique à coup de canon à confettis sur "Rock'n'Roll All Nite" et la classique destruction de guitare de fin de concert orchestrée par Paul Stanley.
Du haut de leur 65 ans, Gene Simmons et Paul Stanley assurent toujours un show énergique, explosif et efficace. 2 heures de de pur rock'n'roll. Est-ce vraiment la dernière tournée ? Espérons que non !
Setlist
Detroit Rock City
Shout It Out Loud
Deuce
Say Yeah
I Love It Loud
Heaven's on Fire
War Machine
Lick It Up
Calling Dr. Love
100,000 Years
Cold Gin
God of Thunder
Psycho Circus
Let Me Go, Rock 'N' Roll
Love Gun
I Was Made for Lovin' You
Black Diamond
Beth
Crazy Crazy Nights
Rock and Roll All Nite
Pour avoir vu Kiss à Madrid un an auparavant autant vous dire que nous craignions que Paul Stanley ne soit plus en capacité d'assurer le chant correctement d'autant plus que certains médias l'accusaient de chanter en playback depuis le début de la tournée aux US (58 shows assurés par le groupe depuis le 31 janvier, avant la date du Hellfest).
La fatigue guettait donc le "bisou" avec en plus des conditions météo difficiles liées à la grosse chaleur qui régnait du côté de Clisson. Pour cette dernière tournée, Kiss a mis les bouchées doubles sur le plan scénique: des plateformes qui montent ou descendent au gré des besoins du show, des explosions, du feu, un écran géant, bref.....Kiss dans toute sa grandeur.
Une fois le rideau Kiss tombé au cri de "Allright Hellfest, you wanted the best you got the best, the hottest band in the world ! Kiss !", les premières notes de "Detroit Rock City" retentissent avec nos super-héros qui arrivent sur scène du haut vers le bas sur 3 grandes plateformes, Gene Simmons à notre gauche, Paul Stanley au milieu et Tommy Thayer à droite. Et le spectacle est tout de suite magique.
Tous les grands classiques de Kiss y passeront (cf. setlist ci-dessous) y compris ceux de la période démaquillée ("Heaven's of Fire", "Lick It Up" et "Crazy Crazy Nights") et les plus récents ("Say Yeah", et "Psycho Circus").
Gene crachera du feu sur "War Machine" (au lieu de "Firehouse" qui a été évincé de la setlist) et du sang sur "God of Thunder", Tommy Thayer balancera ses fusées pendant son solo sur "Cold Gin" et Eric Singer aura droit à son solo de batterie sur "100,000 years" et à sa ballade sur "Beth" pour le premier titre de rappel.
Bien entendu, Paul Stanley n'oubliera pas de traverser la foule sur une perche suspendu et de s'installer sur une petite scène proche de la régie sur laquelle il interpétera "Love Gun" et "I Was Made For Lovin' You". C'est sur dernier titre que Paul a régulièrement eu des difficultés de chant les dernières années, ce qui n'a pas été le cas au Hellfest (ni à Milan et à Zurich, les deux autres dates que nous avons couvert, le 2 et 4 juillet qui ont suivi le Hellfest).
Sur "Crazy Crazy Nights" (avant-dernier titre) de nombreux ballons à l'effigie de Kiss seront balancés dans le public avec comme d'habitude une fin épique à coup de canon à confettis sur "Rock'n'Roll All Nite" et la classique destruction de guitare de fin de concert orchestrée par Paul Stanley.
Du haut de leur 65 ans, Gene Simmons et Paul Stanley assurent toujours un show énergique, explosif et efficace. 2 heures de de pur rock'n'roll. Est-ce vraiment la dernière tournée ? Espérons que non !
Setlist
Detroit Rock City
Shout It Out Loud
Deuce
Say Yeah
I Love It Loud
Heaven's on Fire
War Machine
Lick It Up
Calling Dr. Love
100,000 Years
Cold Gin
God of Thunder
Psycho Circus
Let Me Go, Rock 'N' Roll
Love Gun
I Was Made for Lovin' You
Black Diamond
Beth
Crazy Crazy Nights
Rock and Roll All Nite