Dès les premières secondes de l’introduction, le thème du film Psychose, le public est en haleine, ils frappent des mains pour encourager le groupe, les faire arriver plus vite.
Le rideau tombe et les musiciens apparaissent, la fosse ne reste pas assise très longtemps… ils passeront tout le concert debout d’ailleurs, on se demande alors l’utilité des chaises.
Les prises de paroles de James LaBrie ne sont pas très nombreuses et lui même est peu souvent sur scène, comme nous connaissons à Dream Theater les développements musicaux et les mélodies qui se construisent au fur et à mesure, sans intervention vocale. Malgré tout, il n’oublie pas de mentionner qu’ils reviendront en France sur l’année et demie qui va suivre et que ça n’est que le début, LaBrie espère que le public est prêt pour ce retour en force.
Le concert se joue en deux actes. Un show de pratiquement trois heures avec un entracte au milieu. Durant la première partie, il semblerait que James LaBrie économise un peu sa voix, sûrement pour se réserver pour le second acte…
Durant le set, s'enchaînent Vacant, Stream of Consciousness et Octavarium soit un total d’environ 45 minutes de musique. Lorsqu’ils jouent Vacant, le visuel se fixe enfin, pour contraster avec le reste du concert où seule une texture bleue fixe s’affiche sur les écrans. L’atmosphère est plus douce, l’enchaînement des morceaux est bien rythmé. Durant Octavarium, les visuels s’enchaînent, les graphistes qui ont bossé dessus on dû s’éclater. Des photos dont je n’arrive parfois pas à saisir le sens succèdent à des formes psychédéliques, des couleurs criardes, qui s’emparent de notre regard, fixé sur les écrans derrière les musiciens. Parfois je me dis que c’est un peu trop et que nos yeux devraient plutôt être rivés sur les musiciens.
L’enfant en nous ressort à la vue de l’extrait vidéo du Magicien d’Oz…préambule au morceau Scene Six: Home.
Le show est psychédélique. Le retour de Mike Portnoy à la batterie réjouit les fans, pour cette tournée du 40e anniversaire du groupe.
Il s’agit de mon premier concert de Dream Theater, mais à en entendre et voir les réactions des spectateurs, je peux affirmer que certains morceaux peu, voire pas joué sur scène, leur font plaisir à entendre…
Au son de If I die tomorrow, LaBrie demande au public d’allumer leurs lampes, alors ça et là, apparaissent par dizaines des loupiotes blanches. Je suis émerveillée car nous ne distinguons pas les porteurs des lampes, simplement des petits points lumineux jusqu’aux plus hauts balcons.
Pour les plus curieux, le concert a été filmé pour un enregistrement dans le DVD de la tournée !
Le rideau tombe et les musiciens apparaissent, la fosse ne reste pas assise très longtemps… ils passeront tout le concert debout d’ailleurs, on se demande alors l’utilité des chaises.
Les prises de paroles de James LaBrie ne sont pas très nombreuses et lui même est peu souvent sur scène, comme nous connaissons à Dream Theater les développements musicaux et les mélodies qui se construisent au fur et à mesure, sans intervention vocale. Malgré tout, il n’oublie pas de mentionner qu’ils reviendront en France sur l’année et demie qui va suivre et que ça n’est que le début, LaBrie espère que le public est prêt pour ce retour en force.
Le concert se joue en deux actes. Un show de pratiquement trois heures avec un entracte au milieu. Durant la première partie, il semblerait que James LaBrie économise un peu sa voix, sûrement pour se réserver pour le second acte…
Durant le set, s'enchaînent Vacant, Stream of Consciousness et Octavarium soit un total d’environ 45 minutes de musique. Lorsqu’ils jouent Vacant, le visuel se fixe enfin, pour contraster avec le reste du concert où seule une texture bleue fixe s’affiche sur les écrans. L’atmosphère est plus douce, l’enchaînement des morceaux est bien rythmé. Durant Octavarium, les visuels s’enchaînent, les graphistes qui ont bossé dessus on dû s’éclater. Des photos dont je n’arrive parfois pas à saisir le sens succèdent à des formes psychédéliques, des couleurs criardes, qui s’emparent de notre regard, fixé sur les écrans derrière les musiciens. Parfois je me dis que c’est un peu trop et que nos yeux devraient plutôt être rivés sur les musiciens.
L’enfant en nous ressort à la vue de l’extrait vidéo du Magicien d’Oz…préambule au morceau Scene Six: Home.
Le show est psychédélique. Le retour de Mike Portnoy à la batterie réjouit les fans, pour cette tournée du 40e anniversaire du groupe.
Il s’agit de mon premier concert de Dream Theater, mais à en entendre et voir les réactions des spectateurs, je peux affirmer que certains morceaux peu, voire pas joué sur scène, leur font plaisir à entendre…
Au son de If I die tomorrow, LaBrie demande au public d’allumer leurs lampes, alors ça et là, apparaissent par dizaines des loupiotes blanches. Je suis émerveillée car nous ne distinguons pas les porteurs des lampes, simplement des petits points lumineux jusqu’aux plus hauts balcons.
Pour les plus curieux, le concert a été filmé pour un enregistrement dans le DVD de la tournée !
Act I
Prelude (Bernard Herrmann song, Psycho Main Title)
Metropolis Pt. 1: The Miracle and the Sleeper
Act I: Scene Two: I. Overture 1928
Act I: Scene Two: II. Strange Déjà Vu
The Mirror (with 'Lie' outro solo)
Panic Attack
Barstool Warrior
Hollow Years ('96 demo version)
Play Video
Constant Motion
As I Am
Act II
Orchestral Overture (Containing excerpts from every Dream Theater album)
Night Terror
Under a Glass Moon
This Is the Life
Vacant
Stream of Consciousness
Octavarium
Encore:
There's No Place Like Home (Movie clip from 'The Wizard of Oz')
Act II: Scene Six: Home
Act II: Scene Eight: The Spirit Carries On
Pull Me Under
Song played from tape
Singin' in the Rain
(Arthur Freed & Nacio Herb Brown song)
