Vous avez sorti votre premier live pour cette tournée, enregistré au Chabada à Angers en décembre 2023, quel est votre plus beau souvenir ?
Nous dirions tout le concert en entier, la ferveur du public qui sautait de partout. Exemple sur Photochope-moi, les gens jumpaient de partout.
Au Trianon vous avez fêtez vos 10 ans, quelle sensation cela fait-il d’avoir soufflé vos bougies devant votre public ?
Nous avons été agréablement surpris, car c’est l’équipe technique qui nous a fait cette surprise et on ne s’attendait pas à ça. Ça a été la petite cerise sur le gâteau. Ça nous a extrêmement touché d’ailleurs que ça vienne de leur part, parce que nous savons qu’ils nous suivent dans le camion, nous ça va, le groupe ce sont tous des potes qui s’amusent bien, mais eux ce n’est pas forcément leur projet de cœur. Par cette action, l’équipe technique a montré le lien qui l’unit à Cachemire.
Quel goût avait ce gâteau (sacré Val) ?
Il était au chocolat, mais pour être honnête nous n’avions plus faim et nous n’en avons pas mangé, juste goûté. Il doit même rester des bouteilles de cet anniversaire dans notre local de répétition et un peu de gâteau.
Donc pour vos 10 ans c’était le Trianon et pour vos 20 ans, ça sera Bercy ?
Mais carrément ! Remplir un Zénith pour nos 20 ans ça serait génial ! ça se tente.
Pourquoi avoir attendu 10 ans pour faire un live ?
Nous n’avons jamais été fan du son des live. Personnellement Fred préfère le son des studios et par exemple il écoute peu d’albums en live. Le public, nous l’a tellement réclamé, que du coup, nous nous sommes dit allons-y ! C’est une autre approche de l’album ‘Dernier essai’. Un grand merci à Aurélien Paviot, pour le mix, car il l’a mixé avec beaucoup d’ambiance public, au détriment certes de la qualité sonore mais ce live était pour lui.
Vous êtes déjà reparti en studio à Bruxelles… Vous pouvez nous en dire plus ?
Jamais de la vie (rires). On en sait pas plus que vous pour le moment. Nous sommes encore en phase de création.
La reprise de ‘Porcherie’ des Béru de 1989, avec le collectif Rage Tour et la participation de Fred, était un signal d’alarme au moment des élections, vous pouvez nous en dire plus sur cette prise de position ?
On ne l’a pas présenté au nom de Cachemire. C’était une invitation de la part de Nico des Tagada Jones, qui a invité des chanteurs de groupe, et Fred a dit oui vis-à-vis de ses convictions personnelles. C’est un sujet délicat, Cachemire n’est pas un groupe politisé, nous ne sommes pas des donneurs de leçons. Il faut donc bien différencier les choses. Car, malheureusement cela ouvre des débats sensibles avec parfois des insultes. C’était une période virulente, il faut bien l’avouer.
La tournée se termine, quel est votre plus beau souvenir ?
La plus belle restera le Trianon, car on ne s’attendait pas à voir des gens des 4 coins de la France bouger pour venir nous voir. C’était une date comme une autre et là nous avons ressentis tout l’amour du public pour Cachemire. Nous sommes ressortis assez chamboulés et émus…
Avant le Trianon, vous n’aviez pas conscience de l’importance que vous avez pour votre public ?
La première date de la tournée était au Stéréolux et nous ne nous attendions pas à faire une date complète. Mais au Trianon, pour la petite histoire, nous nous sommes rendu compte que la fosse était pleine, pendant la première partie. La période était compliquée, il y avait des grèves en plus, certains ont dû revendre leurs places faute de moyens de transport. 20 minutes avant le show, c’est là que nous avons pris conscience, que cette date allait être gravée dans l’histoire du groupe ! Même Farid n’a pas pensé à inviter sa famille car il ne pensait pas que ça aurait une telle ampleur.
Nous avons pu terminer l’interview avec une série de cris d’enfer par les 5 garçons, demandée par Valérie, ouh là mes tympans ont eu du mal à s’en remettre ….
Nous dirions tout le concert en entier, la ferveur du public qui sautait de partout. Exemple sur Photochope-moi, les gens jumpaient de partout.
Au Trianon vous avez fêtez vos 10 ans, quelle sensation cela fait-il d’avoir soufflé vos bougies devant votre public ?
Nous avons été agréablement surpris, car c’est l’équipe technique qui nous a fait cette surprise et on ne s’attendait pas à ça. Ça a été la petite cerise sur le gâteau. Ça nous a extrêmement touché d’ailleurs que ça vienne de leur part, parce que nous savons qu’ils nous suivent dans le camion, nous ça va, le groupe ce sont tous des potes qui s’amusent bien, mais eux ce n’est pas forcément leur projet de cœur. Par cette action, l’équipe technique a montré le lien qui l’unit à Cachemire.
Quel goût avait ce gâteau (sacré Val) ?
Il était au chocolat, mais pour être honnête nous n’avions plus faim et nous n’en avons pas mangé, juste goûté. Il doit même rester des bouteilles de cet anniversaire dans notre local de répétition et un peu de gâteau.
Donc pour vos 10 ans c’était le Trianon et pour vos 20 ans, ça sera Bercy ?
Mais carrément ! Remplir un Zénith pour nos 20 ans ça serait génial ! ça se tente.
Pourquoi avoir attendu 10 ans pour faire un live ?
Nous n’avons jamais été fan du son des live. Personnellement Fred préfère le son des studios et par exemple il écoute peu d’albums en live. Le public, nous l’a tellement réclamé, que du coup, nous nous sommes dit allons-y ! C’est une autre approche de l’album ‘Dernier essai’. Un grand merci à Aurélien Paviot, pour le mix, car il l’a mixé avec beaucoup d’ambiance public, au détriment certes de la qualité sonore mais ce live était pour lui.
Vous êtes déjà reparti en studio à Bruxelles… Vous pouvez nous en dire plus ?
Jamais de la vie (rires). On en sait pas plus que vous pour le moment. Nous sommes encore en phase de création.
La reprise de ‘Porcherie’ des Béru de 1989, avec le collectif Rage Tour et la participation de Fred, était un signal d’alarme au moment des élections, vous pouvez nous en dire plus sur cette prise de position ?
On ne l’a pas présenté au nom de Cachemire. C’était une invitation de la part de Nico des Tagada Jones, qui a invité des chanteurs de groupe, et Fred a dit oui vis-à-vis de ses convictions personnelles. C’est un sujet délicat, Cachemire n’est pas un groupe politisé, nous ne sommes pas des donneurs de leçons. Il faut donc bien différencier les choses. Car, malheureusement cela ouvre des débats sensibles avec parfois des insultes. C’était une période virulente, il faut bien l’avouer.
La tournée se termine, quel est votre plus beau souvenir ?
La plus belle restera le Trianon, car on ne s’attendait pas à voir des gens des 4 coins de la France bouger pour venir nous voir. C’était une date comme une autre et là nous avons ressentis tout l’amour du public pour Cachemire. Nous sommes ressortis assez chamboulés et émus…
Avant le Trianon, vous n’aviez pas conscience de l’importance que vous avez pour votre public ?
La première date de la tournée était au Stéréolux et nous ne nous attendions pas à faire une date complète. Mais au Trianon, pour la petite histoire, nous nous sommes rendu compte que la fosse était pleine, pendant la première partie. La période était compliquée, il y avait des grèves en plus, certains ont dû revendre leurs places faute de moyens de transport. 20 minutes avant le show, c’est là que nous avons pris conscience, que cette date allait être gravée dans l’histoire du groupe ! Même Farid n’a pas pensé à inviter sa famille car il ne pensait pas que ça aurait une telle ampleur.
Nous avons pu terminer l’interview avec une série de cris d’enfer par les 5 garçons, demandée par Valérie, ouh là mes tympans ont eu du mal à s’en remettre ….