Pour terminer mon week-end destination le Cabaret Sauvage pour assister au concert de Beartooth avec Motionless In White et Stray From The Path en prem!ères parties.
Un concert sold out organisé par Veryshow.
Il ne faudra pas bien longtemps pour que la bande de fous furieux de ce soir envahisse la fosse du Cabaret Sauvage, c’est donc devant un parterre presque complet que se présente Stray From The Path groupe américain voguant entre le metalcore, le rapcore ou encore le nu metal.
Pour vous mettre de l’ambiance et chauffer une salle Stray From The Path c’est de la bombe surtout avec Andrew “Drew york” Dijorio (chant) qui est complètement survolté et qui saute partout. Dommage que la scène soit aussi étroite car on sent que Anthony "Dragon Neck" Altamura (basse) et Thomas Williams (guitare) aimeraient également gambader sur la scène…
Le résultat de la puissance du son et du jeu de Stray From The Path est simple, le public est ultra chaud en moins de dix minutes et ça gigote un peu dans tous les sens en chantant à tue-tête.
Andrew sait comment amener le public dans l’univers de Stray From The Path et s’est donc en restant sur notre faim que nous devons saluer le groupe après un set de seulement une trentaine de minutes.
Setlist :
1- Needful Things
2- May You Live Forever
3- Goodnight Alt-Right
4- Fortune Teller
5- III
6- Guillotine
7- First World Problem Child
Une pause fraîcheur s’impose pendant le changement de plateau avant de reprendre place dans la fosse pour accueillir Motionless In White.
On ne va pas se mentir mais ce soir la salle est remplie de fans portant les couleurs de Motionless In White, groupe de metalcore américain emmené par le charismatique Chris Motionless.
C’est donc sans la moindre surprise que dès les premiers accords de ‘Thoughts & Prayers’ la fosse s’anime par de violents va-et-vient agrémentés de pogos et de quelques slameurs épars se baladant sur la foule en délire.
Le set de Motionless In White est une boule d’énergie qui vous explose au visage, d’autant plus que cela fait trois ans que le groupe ne s’est pas produit à Paris. Chris ne manquera pas de rappeler le plaisir que Motionless In White éprouve à être présent ici ce soir. Ce plaisir se ressent énormément et Chris ne pourra s’empêcher d’échanger à de nombreuses reprises avec les fans du groupe à qui il distribuera, comme à son habitude, des roses en fin de set.
Motionless In White c’est de l'émotion, de la puissance et une fougue à toute épreuve que je vous conseille de vivre (ou revivre) en live au plus vite si ce n’est pas déjà fait…
Setlist :
1- Thoughts & Prayers
2- Break the Cycle
3- Masterpiece
4- Slaughterhouse
5- Werewolf
6- Cyberhex
7- Another Life
8- Soft
9- Somebody Told Me (The Killers cover)
10- Eternally Yours
Seconde pause de la soirée et il y a deux choses à noter, la première est qu’une petite partie du public quitte les lieux et la seconde qu’un gros problème technique, en l’espèce des enceintes qui ne veulent cracher du son, fait que Beartooth monte sur scène avec 25 minutes de retard.
Malgré l’attente prolongée le public reste calme et bouge tranquillement sur la musique d’ambiance et c’est sous des hurlements de joie que Beartooth, groupe de punk hardcore américain, se présente enfin devant nous.
Caleb Shomo (chant) arrive bille en tête sur scène et nous fait très rapidement oublier ce petit retard avec ‘Below’. Le punk hardcore de Beartooth est puissant et énergique sans toutefois être trop lourd et assommant. Sur scène Caleb, tous tatouages apparents, est un véritable aimant attirant tous les regards et il nous envoie en retour une énergie galvanisante.
Sans aucune surprise le public est aux anges et la température monte encore d’un cran même si contre toute attente pas de pluie de slameurs dans le crash pit ridiculement petit.
Beartooth va enchaîner seize titres, sans compter le solo de batterie, et ces seize titres vont passer comme une balle alors, que de regret quand le son se coupe définitivement (et cette fois ce n’est pas un souci technique) et qu’il est temps de quitter les lieux les oreilles pleines de bourdonnements…
Ce soir nous avons avons passé une excellente soirée grâce à trois très bons groupes alors merci à Stray From The Path, Motionless In White et Beartooth pour cette putain de bonne soirée sans oublier Veryshow pour avoir organisé ce moment d’exception.
Setlist :
1- Below
2- Devastation
3- Disease
4- Body Bag
5- Riptide
6- Dominate
7- The Lines
8- Beaten In Lips
9- Skin
10- Hell of It
11- You Never Know
12- Bad Listener
13- Hated
14- In Between
15- The Past is Dead
16- The Last Riff (Preceded by a drum solo)
Un concert sold out organisé par Veryshow.
Il ne faudra pas bien longtemps pour que la bande de fous furieux de ce soir envahisse la fosse du Cabaret Sauvage, c’est donc devant un parterre presque complet que se présente Stray From The Path groupe américain voguant entre le metalcore, le rapcore ou encore le nu metal.
Pour vous mettre de l’ambiance et chauffer une salle Stray From The Path c’est de la bombe surtout avec Andrew “Drew york” Dijorio (chant) qui est complètement survolté et qui saute partout. Dommage que la scène soit aussi étroite car on sent que Anthony "Dragon Neck" Altamura (basse) et Thomas Williams (guitare) aimeraient également gambader sur la scène…
Le résultat de la puissance du son et du jeu de Stray From The Path est simple, le public est ultra chaud en moins de dix minutes et ça gigote un peu dans tous les sens en chantant à tue-tête.
Andrew sait comment amener le public dans l’univers de Stray From The Path et s’est donc en restant sur notre faim que nous devons saluer le groupe après un set de seulement une trentaine de minutes.
Setlist :
1- Needful Things
2- May You Live Forever
3- Goodnight Alt-Right
4- Fortune Teller
5- III
6- Guillotine
7- First World Problem Child
Une pause fraîcheur s’impose pendant le changement de plateau avant de reprendre place dans la fosse pour accueillir Motionless In White.
On ne va pas se mentir mais ce soir la salle est remplie de fans portant les couleurs de Motionless In White, groupe de metalcore américain emmené par le charismatique Chris Motionless.
C’est donc sans la moindre surprise que dès les premiers accords de ‘Thoughts & Prayers’ la fosse s’anime par de violents va-et-vient agrémentés de pogos et de quelques slameurs épars se baladant sur la foule en délire.
Le set de Motionless In White est une boule d’énergie qui vous explose au visage, d’autant plus que cela fait trois ans que le groupe ne s’est pas produit à Paris. Chris ne manquera pas de rappeler le plaisir que Motionless In White éprouve à être présent ici ce soir. Ce plaisir se ressent énormément et Chris ne pourra s’empêcher d’échanger à de nombreuses reprises avec les fans du groupe à qui il distribuera, comme à son habitude, des roses en fin de set.
Motionless In White c’est de l'émotion, de la puissance et une fougue à toute épreuve que je vous conseille de vivre (ou revivre) en live au plus vite si ce n’est pas déjà fait…
Setlist :
1- Thoughts & Prayers
2- Break the Cycle
3- Masterpiece
4- Slaughterhouse
5- Werewolf
6- Cyberhex
7- Another Life
8- Soft
9- Somebody Told Me (The Killers cover)
10- Eternally Yours
Seconde pause de la soirée et il y a deux choses à noter, la première est qu’une petite partie du public quitte les lieux et la seconde qu’un gros problème technique, en l’espèce des enceintes qui ne veulent cracher du son, fait que Beartooth monte sur scène avec 25 minutes de retard.
Malgré l’attente prolongée le public reste calme et bouge tranquillement sur la musique d’ambiance et c’est sous des hurlements de joie que Beartooth, groupe de punk hardcore américain, se présente enfin devant nous.
Caleb Shomo (chant) arrive bille en tête sur scène et nous fait très rapidement oublier ce petit retard avec ‘Below’. Le punk hardcore de Beartooth est puissant et énergique sans toutefois être trop lourd et assommant. Sur scène Caleb, tous tatouages apparents, est un véritable aimant attirant tous les regards et il nous envoie en retour une énergie galvanisante.
Sans aucune surprise le public est aux anges et la température monte encore d’un cran même si contre toute attente pas de pluie de slameurs dans le crash pit ridiculement petit.
Beartooth va enchaîner seize titres, sans compter le solo de batterie, et ces seize titres vont passer comme une balle alors, que de regret quand le son se coupe définitivement (et cette fois ce n’est pas un souci technique) et qu’il est temps de quitter les lieux les oreilles pleines de bourdonnements…
Ce soir nous avons avons passé une excellente soirée grâce à trois très bons groupes alors merci à Stray From The Path, Motionless In White et Beartooth pour cette putain de bonne soirée sans oublier Veryshow pour avoir organisé ce moment d’exception.
Setlist :
1- Below
2- Devastation
3- Disease
4- Body Bag
5- Riptide
6- Dominate
7- The Lines
8- Beaten In Lips
9- Skin
10- Hell of It
11- You Never Know
12- Bad Listener
13- Hated
14- In Between
15- The Past is Dead
16- The Last Riff (Preceded by a drum solo)
