C'est dans une petite salle à l'arrière d'un bar que la soirée organisée par Garmonbozia va se dérouler.
Le genre de salle où l'on sait immédiatement que l'on va pouvoir se rapprocher des artistes.
O.r.k ouvre la soirée.
Le métal progressif du groupe, ambiant, porté par la voix de L.e.f est enivrant.
Le chanteur dont le timbre de voix fait penser à Chris Cornell assure pleinement malgré le fait qu'il ne soit pas en pleine capacité de ses moyens (ayant du s'éclipser entre deux chansons).
Le guitariste lead, Carmelo Pipitone, s'amuse et montre sa joie d'être ici, le bassiste Colin Edwin, tout en retenue se permet quelques touches d'humour avec le public tandis que le batteur, Pat Mastelotto malgré son expérience professionnelle conséquente, prend régulièrement le temps d'interagir avec les spectateurs, et d'expliquer le processus de création ou contexte de certains morceaux (décès de proche, naissance, éloignement).
Le son est excellent et on est rapidement transporté dans l'univers du groupe , associant lourdeur musicale et voix aérienne.
Une setlist pertinente permet pleinement d'apprécier le show.
Arrive ensuite Lizzard. Le trio français impressionne immédiatement, tant par le son que par la qualité technique des musiciens.
La basse de William Knox est ronde et percutante, la batteuse, Katy Elwel concentrée et souriante martele ses fûts avec une précision chirurgicale, mais c'est particulièrement Mathieu Ricou, au chant et à la guitare qui capte l'attention.
Avec son pedalboard, il réussit à créer les ambiances, ou permet de plusieurs lignes de guitare avec ses boucles ..il est sur tous les fronts tout en prenant manifestement du plaisir, en plaisantant avec le public, certes clairsemé mais conquis.
Les morceaux sont parfaitement retranscrits, l'association passages mélodiques-enervés fonctionne à merveille et la complexité et subtilité des morceaux sur album sont parfaitement restranscrites.
Un passage a la guitare électro acoustique au milieu du set fin d être "plus simple" d'après le chanteur amène naturellement un peu de douceur avant de reprendre les hostilités.
Les morceaux terminés les deux groupes se prêtent aux jeux des photos, dédicaces et discussions afin de conclure cette belle soirée , placée uniquement sous le Dieu du bon son ,sans artifices, uniquement les instruments, les artistes le public et les émotions.
On quitte la salle avec le sentiment d'avoir partagé un moment d'intimité avec ces groupes qui font bourdonner les oreilles, et pincer nos cœurs
Le genre de salle où l'on sait immédiatement que l'on va pouvoir se rapprocher des artistes.
O.r.k ouvre la soirée.
Le métal progressif du groupe, ambiant, porté par la voix de L.e.f est enivrant.
Le chanteur dont le timbre de voix fait penser à Chris Cornell assure pleinement malgré le fait qu'il ne soit pas en pleine capacité de ses moyens (ayant du s'éclipser entre deux chansons).
Le guitariste lead, Carmelo Pipitone, s'amuse et montre sa joie d'être ici, le bassiste Colin Edwin, tout en retenue se permet quelques touches d'humour avec le public tandis que le batteur, Pat Mastelotto malgré son expérience professionnelle conséquente, prend régulièrement le temps d'interagir avec les spectateurs, et d'expliquer le processus de création ou contexte de certains morceaux (décès de proche, naissance, éloignement).
Le son est excellent et on est rapidement transporté dans l'univers du groupe , associant lourdeur musicale et voix aérienne.
Une setlist pertinente permet pleinement d'apprécier le show.
Arrive ensuite Lizzard. Le trio français impressionne immédiatement, tant par le son que par la qualité technique des musiciens.
La basse de William Knox est ronde et percutante, la batteuse, Katy Elwel concentrée et souriante martele ses fûts avec une précision chirurgicale, mais c'est particulièrement Mathieu Ricou, au chant et à la guitare qui capte l'attention.
Avec son pedalboard, il réussit à créer les ambiances, ou permet de plusieurs lignes de guitare avec ses boucles ..il est sur tous les fronts tout en prenant manifestement du plaisir, en plaisantant avec le public, certes clairsemé mais conquis.
Les morceaux sont parfaitement retranscrits, l'association passages mélodiques-enervés fonctionne à merveille et la complexité et subtilité des morceaux sur album sont parfaitement restranscrites.
Un passage a la guitare électro acoustique au milieu du set fin d être "plus simple" d'après le chanteur amène naturellement un peu de douceur avant de reprendre les hostilités.
Les morceaux terminés les deux groupes se prêtent aux jeux des photos, dédicaces et discussions afin de conclure cette belle soirée , placée uniquement sous le Dieu du bon son ,sans artifices, uniquement les instruments, les artistes le public et les émotions.
On quitte la salle avec le sentiment d'avoir partagé un moment d'intimité avec ces groupes qui font bourdonner les oreilles, et pincer nos cœurs
