Merci à Veryshow, Sounds Like Hell Productions et le CCO de Villeurbanne, d'avoir organisé l'affiche de ce soir. C'est un grand challenge entre un premier report à cause de la venue du Covid, puis une seconde fois suite à un gros souci de santé pour Nico, l'un des deux chanteurs d'Electric Callboy.
L'attente musicale se fait sur du hip-hop avec des artistes comme Eminem et Snoop Dog puis du néo metal avec Limp Bizkit et Korn.
20h00 et zéro minute, les lumières s'éteignent, la musique fait place à l'introduction d'Annisokay.
ANNISOKAY :
Nous plongeons dans une ambiance lumière tamisée avec un fond sonore qui annonce le début du concert.
La batterie est à gauche de la scène, au même niveau que les autres instruments. J'aimerai noter que j’apprécie le son du micro et des instrument sont vraiment bien réglés.
« Like a Parasite » est la première chanson de ce set.
Au fur et à mesure, je comprends que j'ai face à moi des musiciens avec beaucoup d'influences. On a du punk hardcore, du heavy metal,du metalcore, du post hardcore. Au chant, Rudi sera plus en mode hardcore, alors que Christoph et sa guitare ajoute une note pop avec un chant clair. Le tout dans une douce ambiance planante.
L'énergie est toujours présente. On nous demandant « si nous sommes prêt pour la fête de ce soir ! ». Rudi ne cessera d'être hyper actif sur scène en sautant et en tournant sur lui-même.
Celui-ci nous demande également de s’asseoir « en nous assurant que ça va être fun ! ». Effectivement sur « Bonfire », on se relève en sautant dans tout les sens.
Notre chanteur hardcore étant très communicatif nous demande si « nous aimions la musique metal ? Hé comment ! On reconnaît Duality de Slipknot. Au bout de quelques secondes, sans crier gare, il se jette en faisant un 360° dans la fosse. A partir de là, les pogos s'agrandissent et se font de plus en plus longtemps depuis cette reprise.
« Are you tired ? » nous questionna-t-il. Un circle pit géant se forme pour « Unaware ».
Ensuite les deux chanteurs nous chantonnes à capella « Tu tu tu, tutu tutu... », un fameux tube s'appelant « Hypa Hypa » d'Electric Callboy. Christoph nous remercie d'être là ce soir.
Fin en apothéose avec « STFU », avec une énergie décuplée en ressautant par surprise dans la fosse.
C'est une première pour moi, je ne connais pas du tout ce groupe. J'ai trouvé qu'ils incroyables, me transportant dans plusieurs univers musicaux en un seul set. Je vais m’intéresser de plus près à leur discographie.
Set-list :
1. Like a Parasite
2. What's Wrong
3. Bonfire
4. Duality
5. Unaware
6. Friend or Enemy
7. Tattoos
8. Good Stories
9. Coma Blue
10. STFU
ELECTRIC CALLBOY :
L'attente se fait sur plusieurs tubes rock et metal, notamment « Bad Name » de Bon Jovi, « Cherry Pie » des Warrant, « Jump » de Van Halen, « Don't Stop Me Now » de Queen.
Cinq petites estrades sont alors mise sur la scène.
Les lumières s'éteignent ce qui signifie que la fête va commencer.
Les trublions allemands déboulent avec leur tube « Pump It » de leur dernier album « Tekkno ». Ils arborent tout en auto-dérision, leur belle perruque et tenue d'aérobic. façon année 80. Le refrain est ultra accrocheur. Des confettis tombent sur la fosse grâce à un canon de chaque côté de la scène.
Chaque membre est très expressifs et communicatifs avec le public.
En effet, à la fin de la première chanson, Nico montre les set-lists qui étaient scotchées sur les estrades complètement déchirées et qu'à chaque concert ça recommence. Il connait la set-list donc l'honneur est sauf !
Après « Arrow Of Love », ils partent se changer pour une tenue de scène plus conventionnelle. Ils vont ensuite, avec la même intensité, enchaîner les chansons.
Pour « MC Thunder II », ils ont chacun un canon de confetti à la main. Nous sommes dans un concert, une salle de gym, une discothèque ? Le tout à la fois ! Avec le « Tekkno train », un revival de techno des années 90, mélangé à du metalcore sonnant comme le groupe Punk Bloodhound Gang.
Ils repartent pour se changer pour le fameux titre « Hypa Hypa ». Le public chante en cœur,danse, headbangue, pogote. La fosse est déchaînée.
Electric Callboy part reprendre sa tenue initiale. Pour « Best Day », Nico prend des portables pour se filmer lui et le public tout en souriant.
« Parasite » fait son effet dès l'introduction techno hardcore mixée avec des synthétiseurs. Le refrain avec sa puissance vocale fait penser aux derniers albums de Linkin Park.
Le public a reconnu la musique mielleuse d'eurodance « Hurrikan » et se prépare pour le wall of death. La seconde partie de cette chanson est du death metal agrémenté des cris porcins de Kevin, chanteur originel du groupe.
Une pause se fait laissant croire que le concert était terminé.
Ils reviennent sur l'introduction techno hardcore à la Angerfist de « Mindreader » en nous donnant toute l'énergie qui leur reste.
C'est leur dernière date française et Nico tenait à remercier son équipe qui pense la meilleure du monde.
Spaceman secoue le CCO avec ses rimes puissantes dans les couplets, mêlées à la joyeuse pop.
Le concert se termine avec des confettis et encore l'un de leur tube « We Got The Moves ». Le groupe Annisokay déboule sur scène avec du champagne. Rudi en caleçon fait boire des coupes de ce breuvage à chaque membre d'Electric Callboy.
Ils nous remercient plusieurs fois d'avoir été présents ce soir.
C'est un concert que j'attendais depuis très longtemps. Je suis en nage mais je suis heureuse d'avoir été sur ce rollercoaster musical. Malgré leur pitreries, on sent une réelle maturité et une maîtrise de la scène !
Set-list :
1. Pump It
2. Arrow Of Love
3. HateLove
4. The Scene
5. CastropSpandau
6. Supernova
7. MC Thunder II
8. Tekkno Train
9. Hypa Hypa
10. Crystals
11. Best Day
12. Parasite
13. Hurrikan
14. MC Thunder
15. Mindreader
16. Spaceman
17. We Got The Moves
L'attente musicale se fait sur du hip-hop avec des artistes comme Eminem et Snoop Dog puis du néo metal avec Limp Bizkit et Korn.
20h00 et zéro minute, les lumières s'éteignent, la musique fait place à l'introduction d'Annisokay.
ANNISOKAY :
Nous plongeons dans une ambiance lumière tamisée avec un fond sonore qui annonce le début du concert.
La batterie est à gauche de la scène, au même niveau que les autres instruments. J'aimerai noter que j’apprécie le son du micro et des instrument sont vraiment bien réglés.
« Like a Parasite » est la première chanson de ce set.
Au fur et à mesure, je comprends que j'ai face à moi des musiciens avec beaucoup d'influences. On a du punk hardcore, du heavy metal,du metalcore, du post hardcore. Au chant, Rudi sera plus en mode hardcore, alors que Christoph et sa guitare ajoute une note pop avec un chant clair. Le tout dans une douce ambiance planante.
L'énergie est toujours présente. On nous demandant « si nous sommes prêt pour la fête de ce soir ! ». Rudi ne cessera d'être hyper actif sur scène en sautant et en tournant sur lui-même.
Celui-ci nous demande également de s’asseoir « en nous assurant que ça va être fun ! ». Effectivement sur « Bonfire », on se relève en sautant dans tout les sens.
Notre chanteur hardcore étant très communicatif nous demande si « nous aimions la musique metal ? Hé comment ! On reconnaît Duality de Slipknot. Au bout de quelques secondes, sans crier gare, il se jette en faisant un 360° dans la fosse. A partir de là, les pogos s'agrandissent et se font de plus en plus longtemps depuis cette reprise.
« Are you tired ? » nous questionna-t-il. Un circle pit géant se forme pour « Unaware ».
Ensuite les deux chanteurs nous chantonnes à capella « Tu tu tu, tutu tutu... », un fameux tube s'appelant « Hypa Hypa » d'Electric Callboy. Christoph nous remercie d'être là ce soir.
Fin en apothéose avec « STFU », avec une énergie décuplée en ressautant par surprise dans la fosse.
C'est une première pour moi, je ne connais pas du tout ce groupe. J'ai trouvé qu'ils incroyables, me transportant dans plusieurs univers musicaux en un seul set. Je vais m’intéresser de plus près à leur discographie.
Set-list :
1. Like a Parasite
2. What's Wrong
3. Bonfire
4. Duality
5. Unaware
6. Friend or Enemy
7. Tattoos
8. Good Stories
9. Coma Blue
10. STFU
ELECTRIC CALLBOY :
L'attente se fait sur plusieurs tubes rock et metal, notamment « Bad Name » de Bon Jovi, « Cherry Pie » des Warrant, « Jump » de Van Halen, « Don't Stop Me Now » de Queen.
Cinq petites estrades sont alors mise sur la scène.
Les lumières s'éteignent ce qui signifie que la fête va commencer.
Les trublions allemands déboulent avec leur tube « Pump It » de leur dernier album « Tekkno ». Ils arborent tout en auto-dérision, leur belle perruque et tenue d'aérobic. façon année 80. Le refrain est ultra accrocheur. Des confettis tombent sur la fosse grâce à un canon de chaque côté de la scène.
Chaque membre est très expressifs et communicatifs avec le public.
En effet, à la fin de la première chanson, Nico montre les set-lists qui étaient scotchées sur les estrades complètement déchirées et qu'à chaque concert ça recommence. Il connait la set-list donc l'honneur est sauf !
Après « Arrow Of Love », ils partent se changer pour une tenue de scène plus conventionnelle. Ils vont ensuite, avec la même intensité, enchaîner les chansons.
Pour « MC Thunder II », ils ont chacun un canon de confetti à la main. Nous sommes dans un concert, une salle de gym, une discothèque ? Le tout à la fois ! Avec le « Tekkno train », un revival de techno des années 90, mélangé à du metalcore sonnant comme le groupe Punk Bloodhound Gang.
Ils repartent pour se changer pour le fameux titre « Hypa Hypa ». Le public chante en cœur,danse, headbangue, pogote. La fosse est déchaînée.
Electric Callboy part reprendre sa tenue initiale. Pour « Best Day », Nico prend des portables pour se filmer lui et le public tout en souriant.
« Parasite » fait son effet dès l'introduction techno hardcore mixée avec des synthétiseurs. Le refrain avec sa puissance vocale fait penser aux derniers albums de Linkin Park.
Le public a reconnu la musique mielleuse d'eurodance « Hurrikan » et se prépare pour le wall of death. La seconde partie de cette chanson est du death metal agrémenté des cris porcins de Kevin, chanteur originel du groupe.
Une pause se fait laissant croire que le concert était terminé.
Ils reviennent sur l'introduction techno hardcore à la Angerfist de « Mindreader » en nous donnant toute l'énergie qui leur reste.
C'est leur dernière date française et Nico tenait à remercier son équipe qui pense la meilleure du monde.
Spaceman secoue le CCO avec ses rimes puissantes dans les couplets, mêlées à la joyeuse pop.
Le concert se termine avec des confettis et encore l'un de leur tube « We Got The Moves ». Le groupe Annisokay déboule sur scène avec du champagne. Rudi en caleçon fait boire des coupes de ce breuvage à chaque membre d'Electric Callboy.
Ils nous remercient plusieurs fois d'avoir été présents ce soir.
C'est un concert que j'attendais depuis très longtemps. Je suis en nage mais je suis heureuse d'avoir été sur ce rollercoaster musical. Malgré leur pitreries, on sent une réelle maturité et une maîtrise de la scène !
Set-list :
1. Pump It
2. Arrow Of Love
3. HateLove
4. The Scene
5. CastropSpandau
6. Supernova
7. MC Thunder II
8. Tekkno Train
9. Hypa Hypa
10. Crystals
11. Best Day
12. Parasite
13. Hurrikan
14. MC Thunder
15. Mindreader
16. Spaceman
17. We Got The Moves
